On le constate, le confinement limite et chamboule bien sûr les plans des sportifs et des organisateurs d’événements de partout au monde, mais la situation amène également une créativité intéressante au coeur de tout ça.
Jean-Sébastien vous propose donc pour l’épisode 23 de L’Appel de l’aventure de retrouver sur la route et dans l’action l’aventurier, l’athlète d’endurance, l’auteur et le conférencier Pierre Beauregard (pleinairenor.ca), que l’on vous avait présenté à l’épisode 06.
Pierre Beauregard — Photo tirée de Facebook
Beauregard participe depuis le 1er mai à la Grande traversée virtuelle du Tennessee, ou si vous préférez The Great virtual race across Tennesse, une épreuve de 1000 km imaginée par le mythique Lazarus Lake, le génie fou derrière le légendaire Barkley Marathon.
D’un coup de clavier pendant la crise sanitaire, alors que son événément venait d’être annulé, Lake a lancé ce défi virtuel sur les réseaux sociaux.
Au moment de diffuser l’épisode, ils étaient plus de 18 000 participants à travers le monde, commis dans cette aventure basée sur l’honneur.
Dans le coin de Granby, Pierre Beauregard s’est fixé un échéancier serré et il allonge la foulée en espèrant compléter la distance en une vingtaine de jours.
En chemin le 7 mai, il nous raconte les dessous de ce nouveau défi qu’il s’est lancé.
L’urgence sanitaire liée à la pandémie de la COVID-19 entraîne de nombreux chamboulements et une adaptation de tous. Pour son 17e épisode, L’Appel de l’aventure s’intéresse à la situation.
Dans un premier temps, Jean-Sébastien et notre collaboratrice Joanie St-Pierre de Ti-Mousse dans Brousse vous proposent des suggestions de choses à faire, à voir et à découvrir avec petits et grands, durant cette période de confinement.
Des exemples?
De bons films d’ici et d’ailleurs à découvrir gratuitement, comme ceux des cinéastes de Québec Mélanie Carrier et Olivier Higgins de Mö Films…
De belles initiatives pour garder la forme et se distraire en respectant la distanciation sociale…
Des outils pour occuper petits et grands…
Bref, écoutez l’épisode pour découvrir ces suggestions qui sauront assurément agrémenter votre temps en confinement.
Vous connaissez d’autres belles initiatives? Faites-nous en part!
Puis, alors que tout est en suspens pour les grands événements sportifs à travers le monde, Jean-Sébastien s’entretient avec l’organisateur du Québec Méga Trail et directeur de courses en sentier Jean Fortier, qui nous raconte les conséquences de la pandémie et les divers scénarios avec lesquels il doit jongler en attendant le retour à l’action de la communauté de coureurs.
Les sessions photographiques de Dom Daher sont superbes malgré le fait que les modèles, des personnalités de l’aventure comme les coureurs et montagnards Kilian Jornet et Emilie Fosberg, ou encore la grimpeuse et alpiniste Liv Sansov, se retrouvent en action parmi les détritus.
Une façon de marquer les esprits pour Daher et les 10 sportifs mis en lumière de la sorte. Pour cette campagne baptisée «Une bouteille à la mer», une initiative du freeskieur MathieuNavillod, l’idée était de mettre en contexte certains des premiers acteurs à constater directement la dégradation des milieux naturels.
Kilian Jornet, Emelie Fosberg, Liv Sansoz, Jean-Frédéric Chapuis (skicross, VTT), Mathieu Navillod (freeski), Stéphane Tourreau (apnée), Zébulon Roche (alpinisme, parapente), Rico Leroy (surf, SUP), Laurie Renoton (course en sentier, VTT, ski alpinisme) et Romain Raisson (parapente, freeski) posent ainsi pour Dom Daher dans des environnements sombres et sales qui tranchent avec ceux où l’on est habité de les voir évoluer, en grande nature.
Campagne avec Emilie Fosberg — Photos Dom DaherCampagne avec Romain Raisson — Photos Dom DaherCampagne avec Kilian Jornet — Photos Dom Daher
«Cette prise de parole collective me semble importante au moment où l’on sent les gens de plus en plus réceptifs au discours sur l’environnement. En tant qu’athlète de haut niveau, je suis acteur de cette pollution : on voyage partout dans le monde, on a beaucoup de matériel. Il y a quelques années, on prenait des hélicos pour les tournages, on parcourait la planète dans tous les sens en avion. Une vraie hérésie, avec le recul. Mais on peut se racheter et c’est le moment de le faire. La question est : comment réduire cette empreinte? Pour ma part, en réduisant mes allées et venues, en prenant le train quand c’est possible, en mangeant des légumes de mon jardin, en ayant l’habitation la plus écologique possible. Je sais que tout le monde ne peut pas se permettre de manger bio, que c’est une sorte de privilège, mais on peut faire du lobbying auprès des grosses compagnies alimentaires pour les obliger à faire du vrai bio bon marché. On a crée des montagnes de poubelles, mais en triant et en recyclant, on peut les réduire considérablement.»
La campagne présente du coup des statistiques frappantes liées à notre effet sur l’environnement, ou encore encourageant le recyclage ou d’autres moyens pour faire sa part et aider la nature.
De quoi attirer l’attention et faire réfléchir le public… et les athlètes eux-mêmes.
Car seul bémol, la remarque d’observateurs qui trouvent un peu hypocrite l’association entre certaines de ces vedettes et des commanditaires au coeur de réelles préoccupations environnementales. Le cas de Jornet et son partenaire Volvic, l’eau en bouteille, fait notamment sourciller depuis un moment.
Faut-il s’en offusquer? Vous en pensez quoi?
(Re)découvrez les épisodes de la saison 01 de L’Appel de l’aventure — votre balado plein air
Question de clore la première saison de L’Appel de l’aventure en beauté, Jean-Sébastien, Sébastien et Joanie St-Pierre partagent quelques-uns de leurs produits préférés dans l’épisode 14.
Dans ce dernier texte d’une série de trois, voici la liste de Jean-Sébastien Massicotte.
C’est la doudoune d’expédition par excellence quand le mercure descend au plus bas.
Grâce à une coupe différentielle entre les parties extérieure et intérieure, le duvet de première qualité de puissance 850 offre un gonflement enveloppant tout en ne donnant pas à l’utilisateur l’impression d’être le Bonhomme Michelin. La membrane Gore Thermium protège quant à elle des précipitations.
Le Firebee est assez compact pour le transport dans l’action et vient avec un sac de rangement intégré.
Arc’teryx Cerium LT Hoody pour femme
Pour un usage moins extrême, un choix à considérer est la gamme Cerium, également de notre partenaire Arc’teryx.
La version LT est sans doute la plus polyvalente comme doudoune de service. En hiver, elle est parfaite par-dessus tous les vêtements pendant les arrêts, ou sinon comme couche intermédiaire par temps très froid.
Elles ont toutes les qualités pour briller dans les conditions les plus rigoureuses: enveloppe en Gore-Tex imper-respirante, paumes en cuir, coutures en kevlar, doublures amovibles, cordons de sécurité aux poignets… la liste est longue!
Testées sur les plus haut sommets du monde, les mitaines Alti Mitts ne font qu’un compromis, soit celui de la dextérité fine.
En combinaison, «Js» arrive à manipuler les commandes de ses appareils photo sans avoir à se dénuder les mains. Idem pour l’écran tactile de son téléphone, puisque le Stormtracker est doté de doigts en cuir Sensor.
Un ensemble ultraperformant à toutes les températures et qui a fait ses preuves dans une panoplies d’activités en conditions hivernales.
Prix: 230 $CAN et 90 $CAN
Sacs étanches Watershed
Depuis plusieurs années, Jean-Sébastien utilise les sacs de la compagnie Watershed pour transporter sur — et dans — l’eau ses plus fragiles équipements.
Souples et entièrement submersibles, les sacs Watershed possèdent une fermeture unique, appelée ZipDry, qui est supposément étanche jusqu’à… 90 m!
À bord de kayaks et d’autres embarcations, Jean-Sébastien a utilisé amplement les modèle Ocoee et Chattooga, qui possèdent respectivement de volumes de 15 et 30 litres.
La fermeture à glissière étanche en diagonal du sac rend le contenu facilement accessible tout en assurant la protection parfaite du matériel, aussi fragile soit-il.
Ce sac de pont est particulièrement bien adapté pour un usage en surf à pagaie.
Prix: à partir de 118 $US et 270 $CAN
Réchaud MSR Reactor
Si vous n’avez pas encore essayé les réchauds de type radiant, il est grand temps de vous y mettre.
Compact et simple à utiliser dans l’action, le Reactor est d’une rapidité redoutable quand vient le temps de faire bouillir de l’eau.
Cependant, oubliez ici la capacité à mijoter des repas. Le réchaud en question est conçu pour faire fondre de la neige et faire bouillir l’eau pour les mets déshydratés. That’s it!
Économe en carburant, le Reactor est robuste et polyvalent avec ses trois formats de casseroles disponibles (1 litre, 1,7 litre et 2,5 litres).
Ce tout-en-un se distingue également des réchauds à cartouche standards par sa capacité à fonctionner même sous zéro, au-delà des -10 ºC.
Prix: à partir de 275 $CAN
Connecteur à cartouches Gas Saver+ de G-Works
C’est le genre de gadget à la simplicité si désarmante qu’on se demande pourquoi il n’a pas été inventé plus tôt…
Gas Saver+ de G-Works
Si comme Jean-Sébastien vous vous retrouvez avec une série sans fin de cartouches de carburant à moitié pleines — ou vides, c’est selon — à la maison, le connecteur Gas Saver+ de G-Works tombera à point.
Le scénario est connu; au moment de partir à l’aventure avec un réchaud à cartouche, le désir de transporter un réservoir de carburant plein l’emporte plus souvent qu’autrement. Si bien que s’additionne ainsi les cartouches partiellement utilisées dans l’atelier.
Le Gas Saver+ de G-Works permet le transfert de carburant entre deux cartouches.
Grâce au Gas Saver+, il est possible de connecter deux cartouches ensemble pour tranférer le gas d’une à l’autre.
Il suffit de mettre au froid celle qui doit «recevoir» le combustible pour diminuer la pression dans celle-ci. Et le tour est joué!
Idéalement, il est préférable de faire la manoeuvre à l’extérieur et en utilisant une balance pour s’assurer de respecter un transfert adéquat.
L’accessoire machiné avec soin par G-Works, une obscure entreprise coréenne, n’est pas donné, mais il permet de réaliser des économies quand on doit utiliser régulièrement des cartouches de petits formats.
La possibilité de remplir plus d’une fois à partir de formats plus grands — et moins dispendieux — fera une différence pour le portefeuille et l’environnement à la longue.
Dotée d’un filtre à fibres creuses d’un indice de porosité de 0,1 micron, la bouteille BeFree présente un étonnant débit de deux litres à la minute. Si bien qu’y boire est pratiquement l’équivalent d’utiliser une gourde sans filtre.
Barrière physique aux impuretés, la BeFree protège contre les bactéries et les sporocystes dangereux. Pour les virus, il faudra y ajouter une protection chimique, comme un composé de chlore de type Pristine.
Mais pour un usage simple dans de nombreuses situations au Québec, la BeFree — disponible en version de 0,6 litre, 1 litre et 3 litres — sera parfaite.
Facile à nettoyer, le filtre de la BeFree a une durée de vie de 1000 litres.
Prix: 50 $CAN
Outil multifonction Leatherman Wave
Leatherman Wave dans sa version originale avec embouts de tournevis et étui de nylon.
Incroyable, mais Leatherman aurait vendu plus de 10 millions d’exemplaires de son outil multifonction Wave. Dix millions! Rien que ça!
Jean-Sébastien possède un exemplaire de ce légendaire Leatherman et il le traîne toujours — ou presque — avec lui.
Un coffre à outils portatif qui est prêt à toutes les tâches, dans toutes les situations.
L’ensemble d’embouts de tournevis (30 $CAN) et la rallonge (22,50 $CAN) en option couvrent la très grande majorité des besoins. Et une fois le Wave et ses accessoires rangés dans l’étui en nylon, le tout est ultra compact.
Pour ses 35 ans d’existence, Leatherman a corrigé très légèrement l’outil en y ajoutant un coupe-fil remplaçable dans ce qui est devenu le Wave+. La perfection… améliorée!
Prix: 124 $CAN
Montre intelligente Garmin Fenix 5x
Montre intelligente Garmin Fenix 5x
S’il y a un accessoire qui ne quitte jamais Jean-Sébastien dans toutes les circonstances et activités, c’est bien sa montre GPS Garmin de la série Fenix.
Après la Fenix 3, il utilise depuis déjà quelques années la 5x avec verre saphir.
Un précieux outil de planification et de suivi sur le terrain quelque soit le sport ou le type de sortie.
Ordinateur de bord, station météo, poste de contrôle pour les notifications et le contrôle de la musique du cellulaire… la 5x est une vraie surdouée.
À l’entraînement en course à pied, à vélo, en kayak ou encore en rando, la Fenix enregistre avec précision et sans faille tous les paramètres du moment, pour ensuite les transférer automatiquement sur Garmin Connect, l’application de compilation et de partage des données du géant de l’électronique.
La robustesse de la 5x est particulièrement remarquable. Malgré un usage quotidien qui se compte en années, la montre paraît encore presque neuve. La lunette en verre saphir est toujours immaculée sans aucune protection supplémentaire.
Le communicateur par satellites inReach Explorer+ de Garmin
Si Jean-Sébastien ne peut se passer de sa montre Fenix, un autre appareil de Garmin compte dans les équipements incontournables du sportif: le inReach Explorer+.
Depuis les tous débuts des appareils inReach, les tests ont toujours été concluants.
De la Baie-James aux monts Groulx en passant par le sommet d’Hawaii à plus de 4200 m, le communicateur par satellites a permis à «Js» de rester en contact avec proches et amis, tout en étant prêt aux situations d’urgences lorsque loin des réseaux de communication.
Fort du succès des ses appareils inReach, Garmin (qui a racheté la division à DeLorme en 2016) a bonifié la gamme. Dans tous les cas, l’utilisation des appareils à partir de l’application mobile Earthmate est d’une efficacité rassurante.
Des appareils qui nécessitent un forfait d’abonnement mensuel, variable selon les besoins, mais qui peut être suspendu à faible coût.
Un investissement qui offre cependant un réelle paix d’esprit lorsque l’aventure nous amène loin dans la nature. Et ça, ça n’a pas de prix.
Prix: 520 $CAN, plus forfait d’abonnement
Écoutez la mention spéciale concernant nos choix présentés et nos liens avec certains fabricants et partenaires.
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On ne pourra pas reprocher au géant Salomon de ne rien faire pour sauver la planète. Histoire de diminuer son empreinte écologique, le fabricant français a développé un soulier de course concept entièrement recyclable… en botte de ski!
Salomon a développé une chaussure concept 100% en polyuréthane thermoplastique qui peut être réduire en granules et reformée en coque de botte de ski. — Photo tirée d’une vidéo YouTube
Une belle manière pour moins se sentir coupable d’avoir à mettre au rebut ses vieilles paires d’espadrilles. Elles revivront entièrement en de nouvelles chaussures qui serviront à aller jouer en montagne!
La chaussure concept est développée dans un seul matériel, le polyuréthane thermoplastique (TPU). Du coup, Salomon peut réduire l’espadrille en totalité en granules, qui serviront ensuite à la fabrication des coques des bottes de ski.
Selon le fabricant, il s’agit là d’un effort pour contribuer à l’économie circulaire, une façon de repousser la mise à la poubelle des matériaux utilisés dans ses équipements.
Au coeur du concept, l’usage à 100% du TPU dans une chaussure, au lieu d’un ensemble de matériaux variés. Selon Salomon, en utilisant deux types de TPU, il est possible de créer un soulier respirant, léger et performant pour la course à pied.
Preuve que le concept est bien plus qu’un coup de pub, il devrait être intégré en partie dans la gamme de chaussures de course de Salomon qui seront disponibles aux consommateurs en 2021.
Un pas pour Salomon dans la direction annoncée d’avoir 100% de ses nouveaux produits imaginés selon l’un ou plusieurs des principes d’économie circulaire en 2025.
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Connu pour ses vêtements de plein air de grande qualité, le fabricant canadien Arc’teryx espère donner la même signature à sa nouvelle gamme de produits: des voyages d’aventure haut de gamme guidés par des aventuriers certifiés de premier rang. Découvrez Arc’teryx Trips!
Groupe en randonnée dans les Tombstones, au Yukon. — Photo Arc’teryx Trips
On peut se surprendre de cette nouvelle offre de la part d’un des géants du vêtement plein air. Mais on peut comprendre l’intérêt dans le segment du voyage d’aventure et de la formation quand on connaît le succès depuis plusieurs saisons de l’Académie Arc’teryx, des voyages de formation pour différentes activités d’aventure dans les Alpes ou dans l’Ouest canadien et américain, guidés notamment par des athlètes soutenus par la marque de Vancouver.
«Arc’teryx s’est développée sur l’idée de départ qu’il existe toujours une meilleure façon de faire les choses», explique par communiqué George Weetman, v.-p. de la marque et du commerce électronique chez Arc’teryx. «Nos produits sont dessinés afin de fournir des solutions pour le plein air et, grâce à notre nouveau programme Arc’teryx Trips, nous voulons repenser la manière avec laquelle les gens explorent des destinations spectaculaires et éloignées en fournissant une expérience complète permettant par ailleurs d’essayer nos produits dans les conditions les plus intenses.»
Le programme de voyages de notre partenaire à L’Appel de l’aventure prendra son envol en 2020. Au calendrier, d’abord 11 aventures guidés en petits groupes (de 4 à 12 personnes) vers 10 destinations reculées à travers le monde. Fidèle à son ADN, les trips seront axés sur les sports centraux pour Arc’teryx: l’alpinisme, la course en sentier, l’escalade et la randonnée.
Arc’teryx proposera des sessions de course en sentier dans les Chilcotins, en Colombie-Britannique. — Photo Arc’teryx Trips
Parmi les premières destinations, de juin à septembre 2020, les aventuriers pourront visiter les Alpes (Chamonix, France, alpinisme), les Chilcotins (C.-B., Canada, course en sentier), la Corse (France, course en sentier), les Dolomites (Italie, escalade), la vallée Ghost River (Alberta, Canada, escalade), le Grand Teton (Wyoming, États-Unis, alpinisme), les Alpes suisses (Suisse, course en sentier), le bassin Titcomb (Wyoming, États-Unis, course en sentier), les Tombstones (Yukon, Canada, randonnée) ou encore le secteur du massif Wind River (Wyoming, États-Unis, escalade).
À noter, certains voyages seront uniquement destinés aux femmes. Et pour ceux et celles qui voudraient une aventure encore plus exclusive, des voyages privés seront aussi possibles.
Tout cela a un prix évidemment: entre 3000 $CAN et 8000 $CAN par personne, taxes incluses. À cela il faut ajouter les frais de déplacement à partir de votre lieu de résidence jusqu’à la destination de départ.
Aventure verticale dans les Dolomites, en Italie. — Photo Arc’teryx Trips
Une fois sur place, vous aurez un accès privilégié à certains guides et athlètes des plus réputés dans un format intimiste, avec un petit ratio clients/guide. Du nombre, notons notamment la skieuse professionnelle Jessica Baker, le montagnard Walter Zoerer, le coureur Adam Campbell et la skieuse et coureuse Janelle Smiley.
Les réservations débutent dès maintenant et pour tous les détails sur les aventures, visitez le trips.arcteryx.com.
De la foule dans les sentiers, à la solitude durant le Tor des glaciers, c’est un voyage au bout des extrêmes que nous vous proposons pour l’épisode 11 de L’Appel de l’aventure, votre balado plein air.
D’abord une discussion au sujet de l’achalandage en plein air. Est-ce rendu un problème généralisé?
L’exemple du mont Wright, à Stoneham, où l’on a dû restreindre l’accès aux sentiers cet automne, vient en tête naturellement. Retour sur les raisons qui ont poussé la municipalité à agir de la sorte.
Puis, tour d’horizon pour faire l’état des lieux dans les parcs nationaux du Québec, le temps d’un entretien avec Simon Boivin, responsable des communications à la Sépaq.
Dans son côté, le coureur Alexandre Genois s’est retrouvé bien seul début septembre, durant le Tor des glaciers. Il nous raconte son parcours durant l’hallucinante course de 450 km et 32 000 m de D+ dans les Alpes italiennes, où il a atteint ses limites… au point de parler aux vaches!
Si la récente performance de l’ultra traileur espagnol Gorka Zubeldia Letamendia, à la prestigieuse CCC, ne vous inspire pas à passer à l’action pour vous dépasser, rien ne le fera!
L’utra-traileur espagnol Gorka Zubeldia Letamendia célèbre au fil d’arrivée de la prestigieuse CCC. — Photo tirée de Facebook/Coeur Handisport
Amputé tibial, l’homme de presque 50 ans a complété en marge de l’Ultra trail du Mont-Blanc (UTMB) le réputé ultra trail CCC (Courmayeur-Champex-Chamonix). Un «petit» 101 km dans les Alpes avec un dénivelé positif de 6000 m. Rien que ça!
Dernier à finir l’épreuve, le coureur a pris 28 heures et 5 minutes pour croiser le fil d’arrivée sous les applaudissements nourris de la foule.
Une fois la ligne passée, Zubeldia Letamendia s’est assis sous l’arche pour retirer sa prothèse et célébrer le moment en la portant bien haut.
Une scène d’une grande instensité qui souligne une fois de plus comment les limites physiques sont au fond celles de l’esprit…
Au programme de l’épisode 02 de la baladodiffusion L’Appel de l’aventure, on vous entraîne dans le monde de la course d’exception en compagnie d’Hélène Dumais et d’Alexandre Genois, puis on vous présente la première chronique famille de Joanie St-Pierre, fondatrice de Ti-Mousse dans Brousse.
Un épisode présenté en collaboration avec Arc’teryx et en partenariat avec la boutique Pagaie Québec.
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