Infranchissable le «super mur» de Trump? Un grimpeur triomphe… en moins de 18 secondes

Le controversé président américain Donald Trump n’en serait pas à sa première exagération: son «super mur» à la frontière du Mexique est-il vraiment infranchissable et testé par des grimpeurs de premier plan, comme il le prétend?

Rappelons qu’il y a quelques semaines, le milliardaire au toupet rebelle présentait aux médias du monde son fameux mur d’acier, mis en place à la frontière sud des États-Unis.

Sans aucune retenue, le résident de la Maison-Blanche annonçait alors que l’ouvrage ne pouvait être escaladé.

Encore plus, Newsweek racontait même que le président avait affirmé avoir reçu l’expertise de «20 grimpeurs doués» pour tester la structure au bénéfice du gouvernement fédéral. Personne n’aurait alors réussi à gravir l’obstacle.

Apparemment des grimpeurs de calibre mondial. Des champions même.

Le problème, c’est que comme le souligne le magazine Rock and Ice, personne dans le milieu de l’escalade ne connaît l’un des 20 montagnards en question. Pas même quelqu’un qui connaît quelqu’un…

Et bien sûr, aucun nom n’a été donné par l’administration Trump.

Ce qui fait que tout ce que l’affirmation a fini par créer, c’est une détermination à prouver que toute l’histoire était fausse et que le mur en question était loin d’être infranchissable. #Fakenews quoi!

Il n’en fallait pas plus, le défi était lancé!

Arrive dans le portrait Rick Weber, un grimpeur de 75 ans. L’ingénieur à la retraite a construit une reproduction exacte d’une section du mur de Trump, chez lui au Kentucky, histoire de permettre aux adeptes d’escalade de passer à l’action.

Rick Weber a mis quatre jours avec des amis pour créer cette réplique à l’identique du «super mur» de Trump à la frontière avec le Mexique. — Photo tirée de Facebook @richardhweber

Résultat, au terme d’une compétition amicale tenu en marge du Rocktoberfest, les 11 et 12 octobre derniers, de nombreux grimpeurs ont atteint le sommet de l’obstacle de 18 pieds de haut. Le plus rapide a pris moins de 18 secondes!

Il y a même une vidéo qui circule sur Internet où une fillette de 8 ans parvient au sommet du mur.

Évidemment, les mauvaises langues et les pro-Trump diront que les immigrants illégaux ne sont pas des grimpeurs expérimentés…

Mais gageons que pour certains en quête d’une vie meilleure, ce n’est visiblement pas ce dernier obstacle qui les arrêtera.


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Arc’teryx se lance dans le voyage d’aventure haut de gamme

Connu pour ses vêtements de plein air de grande qualité, le fabricant canadien Arc’teryx espère donner la même signature à sa nouvelle gamme de produits: des voyages d’aventure haut de gamme guidés par des aventuriers certifiés de premier rang. Découvrez Arc’teryx Trips!

Groupe en randonnée dans les Tombstones, au Yukon. — Photo Arc’teryx Trips

On peut se surprendre de cette nouvelle offre de la part d’un des géants du vêtement plein air. Mais on peut comprendre l’intérêt dans le segment du voyage d’aventure et de la formation quand on connaît le succès depuis plusieurs saisons de l’Académie Arc’teryx, des voyages de formation pour différentes activités d’aventure dans les Alpes ou dans l’Ouest canadien et américain, guidés notamment par des athlètes soutenus par la marque de Vancouver.

«Arc’teryx s’est développée sur l’idée de départ qu’il existe toujours une meilleure façon de faire les choses», explique par communiqué George Weetman, v.-p. de la marque et du commerce électronique chez Arc’teryx. «Nos produits sont dessinés afin de fournir des solutions pour le plein air et, grâce à notre nouveau programme Arc’teryx Trips, nous voulons repenser la manière avec laquelle les gens explorent des destinations spectaculaires et éloignées en fournissant une expérience complète permettant par ailleurs d’essayer nos produits dans les conditions les plus intenses.»

Le programme de voyages de notre partenaire à L’Appel de l’aventure prendra son envol en 2020. Au calendrier, d’abord 11 aventures guidés en petits groupes (de 4 à 12 personnes) vers 10 destinations reculées à travers le monde. Fidèle à son ADN, les trips seront axés sur les sports centraux pour Arc’teryx: l’alpinisme, la course en sentier, l’escalade et la randonnée.

Arc’teryx proposera des sessions de course en sentier dans les Chilcotins, en Colombie-Britannique. — Photo Arc’teryx Trips

Parmi les premières destinations, de juin à septembre 2020, les aventuriers pourront visiter les Alpes (Chamonix, France, alpinisme), les Chilcotins (C.-B., Canada, course en sentier), la Corse (France, course en sentier), les Dolomites (Italie, escalade), la vallée Ghost River (Alberta, Canada, escalade), le Grand Teton (Wyoming, États-Unis, alpinisme), les Alpes suisses (Suisse, course en sentier), le bassin Titcomb (Wyoming, États-Unis, course en sentier), les Tombstones (Yukon, Canada, randonnée) ou encore le secteur du massif Wind River (Wyoming, États-Unis, escalade).

À noter, certains voyages seront uniquement destinés aux femmes. Et pour ceux et celles qui voudraient une aventure encore plus exclusive, des voyages privés seront aussi possibles.

Tout cela a un prix évidemment: entre 3000 $CAN et 8000 $CAN par personne, taxes incluses. À cela il faut ajouter les frais de déplacement à partir de votre lieu de résidence jusqu’à la destination de départ.

Aventure verticale dans les Dolomites, en Italie. — Photo Arc’teryx Trips

Une fois sur place, vous aurez un accès privilégié à certains guides et athlètes des plus réputés dans un format intimiste, avec un petit ratio clients/guide. Du nombre, notons notamment la skieuse professionnelle Jessica Baker, le montagnard Walter Zoerer, le coureur Adam Campbell et la skieuse et coureuse Janelle Smiley.

Les réservations débutent dès maintenant et pour tous les détails sur les aventures, visitez le trips.arcteryx.com.


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Épisode 11 / L’achalandage en plein air… un problème? Et Alex Genois trouve ses limites au Tor des glaciers

De la foule dans les sentiers, à la solitude durant le Tor des glaciers, c’est un voyage au bout des extrêmes que nous vous proposons pour l’épisode 11 de L’Appel de l’aventure, votre balado plein air.

D’abord une discussion au sujet de l’achalandage en plein air. Est-ce rendu un problème généralisé?

L’exemple du mont Wright, à Stoneham, où l’on a dû restreindre l’accès aux sentiers cet automne, vient en tête naturellement. Retour sur les raisons qui ont poussé la municipalité à agir de la sorte.

Puis, tour d’horizon pour faire l’état des lieux dans les parcs nationaux du Québec, le temps d’un entretien avec Simon Boivin, responsable des communications à la Sépaq.

Dans son côté, le coureur Alexandre Genois s’est retrouvé bien seul début septembre, durant le Tor des glaciers. Il nous raconte son parcours durant l’hallucinante course de 450 km et 32 000 m de D+ dans les Alpes italiennes, où il a atteint ses limites… au point de parler aux vaches!

Épisode présenté en collaboration avec www.arcteryx.com, en partenariat avec la boutique www.pagaiequebec.com

Bonne écoute!



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Rob Lea réussit son ultime triathlon mondial

Prenez séparemment les trois volets de l’ultime triathlon à travers le monde de l’Américain Rob Lea et c’est un exploit digne de mention chaque fois.

Imaginez maintenant combiner l’ascension de l’Everest, la traversée de la Manche à la nage et celle des États-Unis à vélo dans la même année.

C’est ce que Lea vient de réaliser.

Reste à savoir s’il était bien courbaturé en début de semaine quand il a rejoint l’Atlantique après 39 jours et plus de 5600 km sur son vélo, mais il devait assurément ressentir une grande fierté à devenir la toute première personne à compléter les trois exploits.

Ce qui est encore plus extraordinaire est la rapidité à laquelle Lea est arrivé à ses fins. Il lui aura fallu environ six mois pour clore son triathlon de l’extrême.

Et dire qu’il a même pris le temps à travers ça pour se marier avec la skieuse professionnelle, aventurière et activiste Caroline Gleich, qui l’accompagnait au sommet de l’Everest (8848 m) en mai!

Rob Lea a complété sa traversée des États-Unis à Nantucket, Massachusetts. — Photo tirée d’Instagram @rob.lea

Rappelons que ce que Rob Lea a baptisé le Ultimate World Tri For Gender Equality visait à mettre en lumière l’importance de l’égalité des genres.


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Solo «sous-marin» sur la plus haute cascade du Japon

Pourquoi? C’est assurément la question qui vous viendra à l’esprit en visionnant la vidéo du Japonais Toru Nakajima, qui gravit la plus haute cascade de son pays, en solo intégral.

Car au-delà de la folie de l’ascension sans aucune sécurité de la voie de 350 mètres, c’est le fait de passer à l’action sur une paroi mouillée, sale et passablement fragile qui rend l’exercice inimaginable.

Un exploit que l’athlète commandité par The North Face Japon a réalisé en août dernier pour le simple plaisir du geste libre sur le rocher. À chacun son bonheur!

Nakajima — qui a comme inspiration un certain Alex Honnold — rêvait depuis 10 ans de pareil solo intégral.

Dans Act on Reason, une production pour le moins esthétique qui met en valeur les spectaculaires chutes de Shomyo, Nakajima repousse les limites du concept appelé «Sawanobori».

Toru Nakajima en solo intégral sur la plus haute cascade du Japon — Photo tirée d’Instagram @saruzaemon9

C’est en japonais une forme d’escalade qui incorpore l’ascension de chutes, la traverse de ravins escarpés et la nage dans les gorges.

Bref, ni plus ni moins une forme inversée du canyoning. L’objectif ultime étant alors de remonter les rivières jusqu’à leur source. 

Nakajima avait réalisé la première ascension de la cascade en 2018 avec les grimpeurs Caroline Ciavaldini, James Pearson, Yuji Hirayama et Matty Hong, d’autres athlètes de The North Face.

La vidéo réalisée à partir de cette aventure donne un bon aperçu de la discipline, réel croisement entre l’escalade, la nage… et le jardinage!


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Épisode 10 / Expé de légendes, Basecamp TNF, 3 sommets sur 55 pour FGT et Montréal-Québec en SUP

Programme chargé et varié pour l’épisode 10 de L’Appel de l’aventure – votre balado plein air!

Sébastien Lapierre nous parle d’abord de l’expédition de haut niveau en cours au pôle nord, mettant en action les légendaires Borge Ousland et Mike Horn.

Puis nous sommes allés faire un tour au Basecamp The North Face dans Portneuf. L’organisateur Loïck Martel-Magnan nous explique le concept qui fait courir les foule.

Sur place, nous y avons d’ailleurs croisé François-Guy Thivierge qui revenait tout juste de la première étape de son projet 55 sommets en 55 mois.

Enfin, Jonathan Busby nous raconte son aventure fluviale en planche à pagaie avec quatre partenaires entre Montréal et Québec.

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La Manche à la nage… quatre fois de suite!

Déjà que traverser la Manche à la nage est un exploit digne de toutes les vantardises — dont on peut abuser jusqu’à la fin de son existence assurément —, imaginez maintenant quand on le fait… quatre fois de suite!

C’est ce qu’a réalisé en début de semaine l’Américaine Sarah Thomas, 37 ans, devenant du coup la première personne à réaliser l’exploit. La Texane d’origine a pris un peu plus de 54 heures pour relier quatre fois l’Angleterre et la France.

Après avoir notamment complété la traversée en 2012 et en 2016, Thomas a connu des ennuis de santé. Elle a combattu un cancer du sein en 2018. C’est d’ailleurs à toutes les survivantes que Sarah Thomas a dédié son exploit.

La nageuse d’expérience a dû batailler ferme de jour comme de nuit contre les courants et la marée qui lui ont compliqué la vie passablement. D’environ 128 km calculés sur papier pour les deux aller-retours, la distance a été étiré jusqu’à près de 210 km à cause des éléments qui ont influencé le trajet de la nageuse.

Sarah Thomas en action entre l’Angleterre et la France — Photo tirée de Facebook

Comme si le défi n’était pas assez de taille comme ça, il a été rendu encore plus difficile par une nausée persistante dont a souffert la sportive tout au long de l’effort. L’équipe de soutien de Thomas a tenté tant bien que mal de trouver une solution, en vain.

Fait à noter, l’entourage de la nageuse ne pouvait pas lui toucher durant toute l’aventure, seulement lui remettre le nécessaire pour assurer son ravitaillement. Et comme elle le raconte elle-même sur Facebook dans son récit de l’exploit, Thomas devait rester en contact avec l’eau en permanence, y compris à ses arrivées intermédiaires en France et en Angleterre.

Auparavant, seulement quatre nageurs avaient traversé la Manche trois fois de suite.


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Épisode 09 / 55 sommets avec François-Guy Thivierge et la prise de risques chez petits et grands avec Joanie St-Pierre

Le risque est au coeur du plus récent épisode de L’Appel de l’aventure.

Au programme de l’épisode 09, d’abord une rencontre avec les grimpeurs François-Guy Thivierge et Jean-François Girard, qui amorçaient ensemble le projet d’envergure 55 sommets en 55 mois pour souligner les 55 ans de Thivierge.

Les grimpeurs François-Guy Thivierge et Jean-François Girard — Photo Jean-Sébastien Massicotte

L’aventure, l’amitié, la prise de risques et le fait de grimper sur des voies mythiques: François-Guy Thivierge et Jean-François Girard racontent leur association qui les a menés notamment dans les Alpes pour amorcer la collecte de sommets.

Puis, notre collaboratrice famille Joanie St-Pierre (www.timoussedansbrousse.com) nous explique pourquoi (et comment) la prise de risques est souhaitable pour petits… et grands.

Faut-il risquer… le risque? Une discussion fort intéressante truffée d’exemples concrets et de données tirées d’études.

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Désespérés, ils sont sauvés par une bouteille Nalgene lancée dans le courant

Coincé en haut d’un chute d’eau sur une branche de la rivière Arroyo Seco, en Californie, Curtis Whitson était à bout de ressources. Isolé dans l’arrière-pays, Whitson ne pouvait que constater la situation délicate dans laquelle il se retrouvait en compagnie de sa copine et de son fils de 13 ans durant un voyage au fil de l’eau.

Arrivés au sommet d’une chute de 40 pieds de haut — la partie la plus délicate de leur aventure —, Curtis, Krystal et Hunter ont constaté avec frayeur que la corde qui devait permettre la descente en sécurité était manquante. Et avec la force du courant et le débit de la chute, Whitson ne jugeait pas possible d’utiliser la corde qu’il avait amené avec lui.

Bien sûr, des proches étaient au courant de l’aventure de la petite famille sur la rivière, mais les secours n’allaient être alertés que dans quelques jours, quand ils allaient découvrir qu’ils n’étaient pas rentrés.

Sans signal cellulaire ni autre moyen de communication, le trio était dans le pétrin.

Puis, comme le raconte le Washington Post, Whitson a eu un éclair de génie en regardant la bouteille d’un litre Nalgene vert lime dans leur matériel.

Whitson a gravé «HELP STUCK» (au secours coincé) sur la bouteille avant d’y mettre une note rédigée sur un bout de papier.

Coincé sur une rivière au-dessus d’une chute de 40 pieds de haut, Curtis Whitson a gravé «HELP STUCK» (au secours coincé) sur sa Nalgene avant d’y ajouter une note manuscrite et de la lancer dans le courant. — Photo tirée d’Instagram @Nalgene

La Nalgene lancée dans le courant de la cascade, il restait à espérer qu’elle allait être trouvée…

Des secours qui sont finalement arrivés rapidement. En effet, dans un coup de chance inouï, des randonneurs ont trouvé la bouteille colorée dans un rétrécissement de la rivière seulement quelques heures plus tard.

Hélitreuillés dès le lendemain matin par les secouristes du California Highway Patrol, le trio ne pouvait que réaliser à quel point les choses étaient tombées en place de la bonne manière pour rendre ce sauvetage possible.

Mis au courant de la mésaventure qui a bien tourné, le fabricant Nalgene cherche maintenant à retrouver les deux randonneurs qui ont alerté les autorités.

En contact avec les survivants, Nalgene aimerait bien pouvoir les rassembler avec leurs sauveteurs.

Portée par les réseaux sociaux, gageons que cette autre bouteille à la mer arrivera encore à bon port!


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VIDÉO / Cauchemar durant un saut de BASE

Si vous avez déjà rêvé que vous faisiez une chute dans votre sommeil, c’est assurément ce à quoi le cauchemar devait ressembler. Sauf que pour cet adepte de BASE jump qui portait la caméra, le mauvais rêve était bien réel et le réveil s’annonçait mortel.

Quelques instants avant l’impact contre la falaise — Image tirée de YouTube

Sur les flancs du mont Brento, en Italie, un dénommé Karl s’élance pour un saut de routine en BASE jumping. Expérimenté, le casse-cou prend son envol d’un perchoir réputé.

Là ou ça se complique, c’est qu’après avoir déployé son parachute, Karl constate que des noeuds causés par de la tension durant l’ouverture de la toile compliquent le contrôle de la voilure.

Pendant que le sol se rapproche à vitesse grand V, le pauvre sportif se débat comme il peut pour régler le problème. Il faut entendre la panique qui grandit à chaque tentative infructueuse…

Chanceux dans sa malchance néanmoins, le parachutiste frappe la falaise avant de rebondir le long de celle-ci pour atterrir lourdement sur une dalle rocheuse en contre-bas.

Miracle, les blessures sont relativement mineures. Une fracture au tibia droit et des lacérations aux mains. C’est tout!

Et l’envie de resauter dans le vide fracassée à jamais?

Ça, ça reste à voir…


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