Quoi de plus banal qu’un simple ustensile de camping. Même en format «spork», le classique combo cuillière-fourchette, il n’y a pas de quoi s’exciter. Normalement…
En effet, les supporteurs de la campagne pour la Morsel Spork Metal sont là en force. Avec un peu moins d’un mois à faire, le projet est financé… à plus de 450%!
L’équipe de Hadron Gear espérait lever 13 250 $CAN. Actuellement, le montant s’élève déjà à plus de 60 000 $CAN. Et ça continue de grimper!
La Morsel Spork originale en plastique — Photo Hadron Gear
Il faut dire que pour cette deuxième version de la Morsel Spork — après celle en plastique qui avait permis d’amasser près de 160 000 $ auprès de 5400 acheteurs — a de quoi plaire.
En un seul ustensile, une fourchette, une cuillère et une spatule pour racler efficacement le fond des plats et des sacs de vos mets préférés.
C’est là tout l’attrait de la gamme imaginée par Hadron Gear. Un simple ustensile, mais mieux pensé pour les besoins des utilisateurs en plein air. Et les autres aussi.
En aluminium, la nouvelle Morsel est résistante et légère. Elle sera disponible en quatre versions: deux longues et deux courtes, avec ou sans embout en silicone.
Les quatre versions de la Morsel Spork Metal — Photo Hadron Gear
En prévente durant la campagne, la Morsel Spork Metal se vend à partir de 16 $US (21,15 $CAN).
Bon appétit!
(Re)découvrez les épisodes de la saison 01 de L’Appel de l’aventure — votre balado plein air
Brisons le suspense d’entrée de jeu: la glacière «Frankenstein» imaginée par Onewheel en collaboration avec YETI n’est qu’une création unique pour rigoler. Mais reste que le résultat est franchement cool!
Une blague qui a fait tout de même son chemin jusqu’au dernier Consumer Electronics Show (CES), le prestigieux salon de l’électronique présenté annuellement à Las Vegas.
Au kiosque de Onewheel, le Coolerwheel a fait jaser à profusion.
Pour ceux qui découvrent la jeune entreprise californienne, elle est derrière l’un des moyens de transport électriques personnels les plus intéressants du moment: le Onewheel.
Un moyen de transport, mais aussi un équipement récréatif unique pour dompter le bitume et les sentiers divers, le tout se situant entre le skateboard, la planche à neige, le surf et le hover board de Retour vers le futur…
Le Onewheel Pint en action — Photo tirée de Facebook @OnewheelOfficial
Une seule roue surdimensionnée au centre de la planche, une autonomie qui va jusqu’à 29 km, une vitesse de pointe qui peut frôler les 30 km/h, un éclairage et des capteurs pour agrémenter la promenade, le tout connecté au téléphone intelligent de l’utilisateur pour suivre et contrôler le comportement du Onewheel.
C’est pas mal cool comme bidule, non?
Alors tant qu’à repousser l’ordinaire, pourquoi ne pas utiliser une glacière YETI comme chassis au véhicule, question de pouvoir transporter nos boissons favorites?
Résultat, probablement la glacière la plus technologique et rapide au monde.
Simplement parce que c’était possible de la fabriquer.
Question de clore la première saison de L’Appel de l’aventure en beauté, Jean-Sébastien, Sébastien et Joanie St-Pierre partagent quelques-uns de leurs produits préférés dans l’épisode 14.
Dans ce dernier texte d’une série de trois, voici la liste de Jean-Sébastien Massicotte.
C’est la doudoune d’expédition par excellence quand le mercure descend au plus bas.
Grâce à une coupe différentielle entre les parties extérieure et intérieure, le duvet de première qualité de puissance 850 offre un gonflement enveloppant tout en ne donnant pas à l’utilisateur l’impression d’être le Bonhomme Michelin. La membrane Gore Thermium protège quant à elle des précipitations.
Le Firebee est assez compact pour le transport dans l’action et vient avec un sac de rangement intégré.
Arc’teryx Cerium LT Hoody pour femme
Pour un usage moins extrême, un choix à considérer est la gamme Cerium, également de notre partenaire Arc’teryx.
La version LT est sans doute la plus polyvalente comme doudoune de service. En hiver, elle est parfaite par-dessus tous les vêtements pendant les arrêts, ou sinon comme couche intermédiaire par temps très froid.
Elles ont toutes les qualités pour briller dans les conditions les plus rigoureuses: enveloppe en Gore-Tex imper-respirante, paumes en cuir, coutures en kevlar, doublures amovibles, cordons de sécurité aux poignets… la liste est longue!
Testées sur les plus haut sommets du monde, les mitaines Alti Mitts ne font qu’un compromis, soit celui de la dextérité fine.
En combinaison, «Js» arrive à manipuler les commandes de ses appareils photo sans avoir à se dénuder les mains. Idem pour l’écran tactile de son téléphone, puisque le Stormtracker est doté de doigts en cuir Sensor.
Un ensemble ultraperformant à toutes les températures et qui a fait ses preuves dans une panoplies d’activités en conditions hivernales.
Prix: 230 $CAN et 90 $CAN
Sacs étanches Watershed
Depuis plusieurs années, Jean-Sébastien utilise les sacs de la compagnie Watershed pour transporter sur — et dans — l’eau ses plus fragiles équipements.
Souples et entièrement submersibles, les sacs Watershed possèdent une fermeture unique, appelée ZipDry, qui est supposément étanche jusqu’à… 90 m!
À bord de kayaks et d’autres embarcations, Jean-Sébastien a utilisé amplement les modèle Ocoee et Chattooga, qui possèdent respectivement de volumes de 15 et 30 litres.
La fermeture à glissière étanche en diagonal du sac rend le contenu facilement accessible tout en assurant la protection parfaite du matériel, aussi fragile soit-il.
Ce sac de pont est particulièrement bien adapté pour un usage en surf à pagaie.
Prix: à partir de 118 $US et 270 $CAN
Réchaud MSR Reactor
Si vous n’avez pas encore essayé les réchauds de type radiant, il est grand temps de vous y mettre.
Compact et simple à utiliser dans l’action, le Reactor est d’une rapidité redoutable quand vient le temps de faire bouillir de l’eau.
Cependant, oubliez ici la capacité à mijoter des repas. Le réchaud en question est conçu pour faire fondre de la neige et faire bouillir l’eau pour les mets déshydratés. That’s it!
Économe en carburant, le Reactor est robuste et polyvalent avec ses trois formats de casseroles disponibles (1 litre, 1,7 litre et 2,5 litres).
Ce tout-en-un se distingue également des réchauds à cartouche standards par sa capacité à fonctionner même sous zéro, au-delà des -10 ºC.
Prix: à partir de 275 $CAN
Connecteur à cartouches Gas Saver+ de G-Works
C’est le genre de gadget à la simplicité si désarmante qu’on se demande pourquoi il n’a pas été inventé plus tôt…
Gas Saver+ de G-Works
Si comme Jean-Sébastien vous vous retrouvez avec une série sans fin de cartouches de carburant à moitié pleines — ou vides, c’est selon — à la maison, le connecteur Gas Saver+ de G-Works tombera à point.
Le scénario est connu; au moment de partir à l’aventure avec un réchaud à cartouche, le désir de transporter un réservoir de carburant plein l’emporte plus souvent qu’autrement. Si bien que s’additionne ainsi les cartouches partiellement utilisées dans l’atelier.
Le Gas Saver+ de G-Works permet le transfert de carburant entre deux cartouches.
Grâce au Gas Saver+, il est possible de connecter deux cartouches ensemble pour tranférer le gas d’une à l’autre.
Il suffit de mettre au froid celle qui doit «recevoir» le combustible pour diminuer la pression dans celle-ci. Et le tour est joué!
Idéalement, il est préférable de faire la manoeuvre à l’extérieur et en utilisant une balance pour s’assurer de respecter un transfert adéquat.
L’accessoire machiné avec soin par G-Works, une obscure entreprise coréenne, n’est pas donné, mais il permet de réaliser des économies quand on doit utiliser régulièrement des cartouches de petits formats.
La possibilité de remplir plus d’une fois à partir de formats plus grands — et moins dispendieux — fera une différence pour le portefeuille et l’environnement à la longue.
Dotée d’un filtre à fibres creuses d’un indice de porosité de 0,1 micron, la bouteille BeFree présente un étonnant débit de deux litres à la minute. Si bien qu’y boire est pratiquement l’équivalent d’utiliser une gourde sans filtre.
Barrière physique aux impuretés, la BeFree protège contre les bactéries et les sporocystes dangereux. Pour les virus, il faudra y ajouter une protection chimique, comme un composé de chlore de type Pristine.
Mais pour un usage simple dans de nombreuses situations au Québec, la BeFree — disponible en version de 0,6 litre, 1 litre et 3 litres — sera parfaite.
Facile à nettoyer, le filtre de la BeFree a une durée de vie de 1000 litres.
Prix: 50 $CAN
Outil multifonction Leatherman Wave
Leatherman Wave dans sa version originale avec embouts de tournevis et étui de nylon.
Incroyable, mais Leatherman aurait vendu plus de 10 millions d’exemplaires de son outil multifonction Wave. Dix millions! Rien que ça!
Jean-Sébastien possède un exemplaire de ce légendaire Leatherman et il le traîne toujours — ou presque — avec lui.
Un coffre à outils portatif qui est prêt à toutes les tâches, dans toutes les situations.
L’ensemble d’embouts de tournevis (30 $CAN) et la rallonge (22,50 $CAN) en option couvrent la très grande majorité des besoins. Et une fois le Wave et ses accessoires rangés dans l’étui en nylon, le tout est ultra compact.
Pour ses 35 ans d’existence, Leatherman a corrigé très légèrement l’outil en y ajoutant un coupe-fil remplaçable dans ce qui est devenu le Wave+. La perfection… améliorée!
Prix: 124 $CAN
Montre intelligente Garmin Fenix 5x
Montre intelligente Garmin Fenix 5x
S’il y a un accessoire qui ne quitte jamais Jean-Sébastien dans toutes les circonstances et activités, c’est bien sa montre GPS Garmin de la série Fenix.
Après la Fenix 3, il utilise depuis déjà quelques années la 5x avec verre saphir.
Un précieux outil de planification et de suivi sur le terrain quelque soit le sport ou le type de sortie.
Ordinateur de bord, station météo, poste de contrôle pour les notifications et le contrôle de la musique du cellulaire… la 5x est une vraie surdouée.
À l’entraînement en course à pied, à vélo, en kayak ou encore en rando, la Fenix enregistre avec précision et sans faille tous les paramètres du moment, pour ensuite les transférer automatiquement sur Garmin Connect, l’application de compilation et de partage des données du géant de l’électronique.
La robustesse de la 5x est particulièrement remarquable. Malgré un usage quotidien qui se compte en années, la montre paraît encore presque neuve. La lunette en verre saphir est toujours immaculée sans aucune protection supplémentaire.
Le communicateur par satellites inReach Explorer+ de Garmin
Si Jean-Sébastien ne peut se passer de sa montre Fenix, un autre appareil de Garmin compte dans les équipements incontournables du sportif: le inReach Explorer+.
Depuis les tous débuts des appareils inReach, les tests ont toujours été concluants.
De la Baie-James aux monts Groulx en passant par le sommet d’Hawaii à plus de 4200 m, le communicateur par satellites a permis à «Js» de rester en contact avec proches et amis, tout en étant prêt aux situations d’urgences lorsque loin des réseaux de communication.
Fort du succès des ses appareils inReach, Garmin (qui a racheté la division à DeLorme en 2016) a bonifié la gamme. Dans tous les cas, l’utilisation des appareils à partir de l’application mobile Earthmate est d’une efficacité rassurante.
Des appareils qui nécessitent un forfait d’abonnement mensuel, variable selon les besoins, mais qui peut être suspendu à faible coût.
Un investissement qui offre cependant un réelle paix d’esprit lorsque l’aventure nous amène loin dans la nature. Et ça, ça n’a pas de prix.
Prix: 520 $CAN, plus forfait d’abonnement
Écoutez la mention spéciale concernant nos choix présentés et nos liens avec certains fabricants et partenaires.
Écoutez le plus récent épisode de L’Appel de l’aventure — votre balado plein air
Question de clore la première saison de L’Appel de l’aventure en beauté, Jean-Sébastien, Sébastien et Joanie St-Pierre partagent quelques-uns de leurs produits préférés dans l’épisode 14.
Dans ce deuxième texte d’une série de trois, voici la liste de Joanie St-Pierre, de Ti-Mousse dans Brousse et notre collaboratrice famille.
C’est que le géant américain du vêtements d’aventure compte bien révolutionner la confection des pièces technique et la façon dont on imagine l’usage des manteaux et autres accessoires imper-respirants.
Au coeur de la membrane Futurelight, une nouvelle structure en nanofibres. Résultats: le fabricant propose une souplesse et une légèreté inégalées grâce à un tissu ultramince et respirant comme jamais.
Il faut le voir pour constater la différence dans l’approche de The North Face.
Écoutez Joanie expliquer son appréciation du nouveau manteau L5 Futurelight dans son arsenal.
Prix: 600 $CAN
Combinaison une pièce The North Face Campshire
Combinaison The North Face Campshire
Vous comprendrez que notre collaboratrice famille à L’Appel de l’aventure se devait de vous proposer des vêtements et accessoires pour les tout-petits.
Valeur sûre pour les petits aventuriers de 0 à 24 mois, le Campshire de The North Face est véritablement adorable.
Le one-piece en laine polaire garantit de garder les infiltrations d’air froid à distance tout en facilitant la vie des parents quand vient le temps de (dé)vêtir les petits.
Cute avec ses oreilles d’ourson sur le capuchon, le Campshire fait aussi sa part pour l’environnement avec une fabrication en polyester, dont 30% est recyclé.
Ça donne le goût de retomber en enfance!
Prix: 90 $CAN
Bas de laine de ski pour bébé Smartwool ou Kombi
Bas Kombi Animal Family
Accessoires souvent négligés, les bas pour les petits aventuriers sont tout aussi importants que ceux pour les grands!
Joanie rappelle que de bons bas pour protéger les petits orteils sont un gage de confort qui vaudra amplement l’investissement.
Certes, les petits grandissent vite, mais de bons bas de qualité rendront de précieux services et garderont une bonne valeur de revente.
Types de tissage, matières utilisées… les fabricants rivalisent d’ingéniosité pour proposer des produits efficaces. Du lot, Joanie apprécie notamment ceux de Smartwool et de Kombi.
Prix: variable
Isolant à gourde
On a jasé dans l’épisode 14 du podcast des différents usages possibles pour la légendaire bouteille Nalgene d’un litre.
Le classique Bottle Parka d’Outdoor Research
Joanie laisse à Sébastien certaines pratiques d’explorateur polaire, mais suggère à son tour l’usage d’une bouillotte par temps froid.
Et question de conserver l’eau la plus chaude possible le plus longtemps, l’isolant à gourde est un incontournable.
Résistant et ultra pratique à l’année, le Bottle Parka permet l’hiver de conserver l’eau chaude plus longtemps tout en évitant de rendre la bouteille brûlante au toucher lorsqu’on la glisse dans la doudoune ou le sac de couchage.
Prix: 39 $CAN
Housse de portage Babygloo de Chimparoo
Housse de portage Babygloo de Chimparoo
Parce que l’hiver n’est pas une raison pour rester à l’intérieur avec bébé, Chimparoo propose une housse de portage pour affronter le froid en toute confiance.
Joanie recommande le Babygloo qui s’utilise avec les porte-bébés, les sièges d’auto et les poussettes.
De -20 ºC à 15 ºC, le Babygloo assure le confort des enfants de 0 à 36 mois.
Joanie apprécie particulièrement la polyvalence du produit, qui comporte des fermetures à glissière et des courroies élastiques qui permettent un ajustement tout au long de la croissance et des usages. Aussi, le Babygloo s’ouvre complètement.
De l’abonnement annuel à celui de seulement quelques jours, il est possible de partir avec l’esprit tranquille en sachant que quoi qu’il arrive, une équipe de professionnels pourra voler à notre secours.
Question de couvrir le 75% du territoire québécois qui n’est pas couvert par le service d’urgence 9-1-1, Joanie compte sur le seul service privé du genre dans la province.
Réalisation du duo père-fille Gérald Le Gal et Ariane Paré-Le Gal, Forêt, identifier, cueillir, cuisiner vous transporte des bois à l’assiette dans un voyage abondamment imagé.
Si vous cherchez une bonne référence pour les plantes comestibles et leurs usages, vous avez trouvé!
Prix: 35 $CAN et 44 $CAN
Écoutez la mention spéciale concernant nos choix présentés et nos liens avec certains fabricants et partenaires.
Écoutez le plus récent épisode de L’Appel de l’aventure — votre balado plein air
Question de clore la première saison de L’Appel de l’aventure en beauté, Jean-Sébastien, Sébastien et Joanie St-Pierre partagent quelques-uns de leurs produits préférés dans l’épisode 14.
Dans ce premier texte d’une série de trois, voici la liste de l’aventurier Sébastien Lapierre.
Boxers Merino Sport 150 de Smartwool
Vêtements en laine mérinos
Tuques, couches de base, gants, bas… le mérinos a sa place partout et dans toutes les déclinaisons.
Si plein de fabricants proposent des articles performants en laine de mérinos, Sébastien peut recommander les articles de Smartwool avec assurance, lui qui a porté les vêtements de la marque pendant son expédition au pôle sud.
Prix: variable
Outil multifonction Victorinox
À défaut de transporter un coffre à outils complet, l’outil multifonction Swiss Tool Spirit XC est probablement le meilleur choix pour faire face à n’importe quelle réparation imprévue.
Il se distingue notamment par sa clé à cliquet unique, qui se range malgré tout dans un étui d’un faible encombrement.
Pour le transport de boissons ou encore comme bouillotte en camping d’hiver, les Nalgene sont toujours pratiques.
Découvrez dans le podcast comment Sébastien utilise la sienne…
Prix: 17 $CAN
Sac à dos Osprey Kamber 32
Osprey Kamber 32
Le sac à dos de Sébastien a perdu un peu de son éclat après son long séjour en Antarctique, mais son Osprey Kamber 32 a davantage de personnalité… et il est toujours aussi efficace!
C’est d’ailleurs son sac à dos tout usage préféré!
Imaginé pour le ski d’aventure, le Kamber est malgré tout d’une grande polyvalence en toute saison.
Prix: 220 $CAN
inReach Explorer
Toujours à ses côtés dans ses aventures loin de la civilisation, le communicateur inReach Explorer est un fiable compagnon pour Sébastien.
inReach Explorer fabriqué par DeLorme
Grâce au communicateur par satellites, l’aventurier peut rester en contact avec proches et amis sous la forme de messages textes, même hors de la couverture cellulaire.
C’est aussi un GPS avec cartes intégrées. Et bien sûr, une balise d’urgence qui permet d’entrer en contact avec les autorités compétentes si jamais les choses tournent mal.
Preuve de la fiabilité et de la robustesse de l’appareil, Sébastien utilise toujours la version originale de l’Explorer, manufacturée à l’origine par DeLorme.
Véritable ordinateur de poignet, la montre Suunto Ambit 3 Peak a rendu de fiers services à Sébastien, autant à l’entraînement que durant ses expéditions.
De la distance parcourue, à la météo à prévoir, en passant par l’altitude ou la température, la Suunto permet de garder à l’oeil les variables des aventures en cours.
Si elle date déjà de quelques années et a depuis été remplacée par des versions plus récente chez Suunto, la Ambit 3 Peak conserve une place de choix au poignet de Sébastien.
Prix: non disponible
Réchauds MSR Pocket Rocket et XGK
La version originale du MSR Pocket Rocket
C’est connu, un aventurier affamé n’ira pas tellement loin!
Léger, compact et facile à utiliser, le Pocket Rocket se trimballe facilement partout et n’abandonne jamais.
En hiver, pour faire fondre la neige en vue des corvées d’eau, le légendaire XGK de MSR demeure le réchaud de choix en conditions difficiles.
Malgré sa vénérable douzaine d’années et un usage intensif en expédition, dont au Groenland et en Antarctique, le XGK de Sébastien reste toujours aussi efficace, notamment grâce à la possibilité d’en faire aisément l’entretien.
Prix: 60 $CAN et 200 $CAN
Écoutez la mention spéciale concernant nos choix présentés et nos liens avec certains fabricants et partenaires.
Écoutez le plus récent épisode de L’Appel de l’aventure — votre balado plein air
C’est vraiment cool. Très cool même. Pionnier pour la remise en service de vêtements plein air usagés avec son programme Worn Wear, Patagonia repousse encore une fois les limites du possible. Découvrez ReCrafted, une collection unique réalisée à partir d’articles Patagonia en principe irrécupérables.
Des initiatives qui prennent de l’importance et pour lesquelles les consommateurs sont de plus en plus sensibles. Preuve en est, le succès du programme de réparation Worn Wear de Patagonia, par lequel le fabricant californien a mis en place un service poussé de restauration pour éviter que des vêtements usés et endommagés aboutissent aux ordures.
Mais conséquence: tout n’est pas récupérable et réparable. D’où l’idée pour Patagonia de combiner des vêtements ensemble — jusqu’à six pour une veste — pour créer des nouveaux articles!
Sac de voyage ReCrafted de Patagonia
Confectionnés à la main en Californie par des artisans talentueux, les pièces de la collection ReCrafted comportent des vêtements variés et divers sacs notamment.
Pour l’entreprise fondée par Yvon Chouinard, il s’agit là de mettre de l’avant la «mode lente», où les vêtements perdurent et revivent le plus longtemps possible sous diverses formes avant de finir éventuellement à la poubelle.
T-shirt de la gamme ReCrafted de Patagonia
En agissant ainsi, on assure que l’impact négatif de la fabrication de vêtements est de beaucoup diminué.
Avec la collection ReCrafted, il faut aimer le style patchwork, mais il y a quelque chose de sympathique dans le fait de savoir que chaque morceau est unique, imparfait, et qu’il renferme un vécu étonnant, une personnalité propre.
Ainsi, des shorts Stand Up des années 80 qui ont fait le tour du monde sont peut-être aujourd’hui une partie d’un sac de voyage ReCrafted.
Très cool, je vous disais.
Encore plus quand on sait que chaque article contribue à sauver la planète.
Écoutez le plus récent épisode de L’Appel de l’aventure — votre balado plein air
On ne pourra pas reprocher au géant Salomon de ne rien faire pour sauver la planète. Histoire de diminuer son empreinte écologique, le fabricant français a développé un soulier de course concept entièrement recyclable… en botte de ski!
Salomon a développé une chaussure concept 100% en polyuréthane thermoplastique qui peut être réduire en granules et reformée en coque de botte de ski. — Photo tirée d’une vidéo YouTube
Une belle manière pour moins se sentir coupable d’avoir à mettre au rebut ses vieilles paires d’espadrilles. Elles revivront entièrement en de nouvelles chaussures qui serviront à aller jouer en montagne!
La chaussure concept est développée dans un seul matériel, le polyuréthane thermoplastique (TPU). Du coup, Salomon peut réduire l’espadrille en totalité en granules, qui serviront ensuite à la fabrication des coques des bottes de ski.
Selon le fabricant, il s’agit là d’un effort pour contribuer à l’économie circulaire, une façon de repousser la mise à la poubelle des matériaux utilisés dans ses équipements.
Au coeur du concept, l’usage à 100% du TPU dans une chaussure, au lieu d’un ensemble de matériaux variés. Selon Salomon, en utilisant deux types de TPU, il est possible de créer un soulier respirant, léger et performant pour la course à pied.
Preuve que le concept est bien plus qu’un coup de pub, il devrait être intégré en partie dans la gamme de chaussures de course de Salomon qui seront disponibles aux consommateurs en 2021.
Un pas pour Salomon dans la direction annoncée d’avoir 100% de ses nouveaux produits imaginés selon l’un ou plusieurs des principes d’économie circulaire en 2025.
Écoutez le plus récent épisode de L’Appel de l’aventure — votre balado plein air
L’histoire serait presque drôle si elle n’était pas ponctuée de poursuites judiciaires.
C’est que le géant de la vente en ligne d’équipements de plein air, Backcountry.com, s’est mis en tête qu’il devait protéger son nom de commerce.
— Photo Jean-Sébastien Massicotte
Protéger «backcountry» et poursuivre tous ceux qui l’utilisent sans autorisation. Des douzaines de cas comportant le terme dans leur nom seraient répertoriés.
Le problème, c’est que le mot anglophone qui signifie «arrière-pays» est plutôt commun et générique. D’où le questionnement et la frustration de plusieurs qui dénoncent cette appropriation plutôt sauvage, à grands coups d’avocats.
Un peu comme si tout à coup, «plage», «montagne», «aventure» ou encore «mer» devenaient des termes interdits d’utilisation.
Rapportant la nouvelle à la fin du mois d’octobre, le journal The Colorado Sun pose même la question à savoir s’il s’agit là d’une bonne pratique commerciale… ou plutôt d’intimidation inacceptable?
Backcountry a déposé la marque il y a environ un an pour la protéger spécifiquement d’un usage pour des sites de ventes en ligne ou pour des équipements de plein air. Depuis, le géant poursuit toutes les petites entreprises qui utilisent «backcountry» dans leur nom. Même si elles avaient déposé la marque avant.
The Colorado Sun donne notamment en exemple le fabricant de jeans Backcountry Denim, poursuivi en mars dernier. Après une sérieuse bataille, la petite entreprise a dû perdre son nom et devenir BDCo.
Un groupe baptisé Backcountry Babes, qui organisait des formations en sécurité aux avalanches auraient même été poursuivi.
Une saga qui prend une drôle de tournure quand on sait qu’un autre géant du plein air, Backcountry Access, n’a pas été inquiété. Son cofondateur, Bruce Edgerly, souhaitait par ailleurs convaincre son ami et cofondateur de Backcountry.com, John Bresee, de cesser les manoeuvres de protection et les poursuites généralisées.
Mais Bresee est décédé subitement dans son sommeil en juin. Et les actions se poursuivent…
«Je crois que personne ne devrait pouvoir détenir les droits sur le terme «backcountry», estime pour sa part Jordan Philips, fondateur des jeans désormais appelés BDCo.
Connu pour ses vêtements de plein air de grande qualité, le fabricant canadien Arc’teryx espère donner la même signature à sa nouvelle gamme de produits: des voyages d’aventure haut de gamme guidés par des aventuriers certifiés de premier rang. Découvrez Arc’teryx Trips!
Groupe en randonnée dans les Tombstones, au Yukon. — Photo Arc’teryx Trips
On peut se surprendre de cette nouvelle offre de la part d’un des géants du vêtement plein air. Mais on peut comprendre l’intérêt dans le segment du voyage d’aventure et de la formation quand on connaît le succès depuis plusieurs saisons de l’Académie Arc’teryx, des voyages de formation pour différentes activités d’aventure dans les Alpes ou dans l’Ouest canadien et américain, guidés notamment par des athlètes soutenus par la marque de Vancouver.
«Arc’teryx s’est développée sur l’idée de départ qu’il existe toujours une meilleure façon de faire les choses», explique par communiqué George Weetman, v.-p. de la marque et du commerce électronique chez Arc’teryx. «Nos produits sont dessinés afin de fournir des solutions pour le plein air et, grâce à notre nouveau programme Arc’teryx Trips, nous voulons repenser la manière avec laquelle les gens explorent des destinations spectaculaires et éloignées en fournissant une expérience complète permettant par ailleurs d’essayer nos produits dans les conditions les plus intenses.»
Le programme de voyages de notre partenaire à L’Appel de l’aventure prendra son envol en 2020. Au calendrier, d’abord 11 aventures guidés en petits groupes (de 4 à 12 personnes) vers 10 destinations reculées à travers le monde. Fidèle à son ADN, les trips seront axés sur les sports centraux pour Arc’teryx: l’alpinisme, la course en sentier, l’escalade et la randonnée.
Arc’teryx proposera des sessions de course en sentier dans les Chilcotins, en Colombie-Britannique. — Photo Arc’teryx Trips
Parmi les premières destinations, de juin à septembre 2020, les aventuriers pourront visiter les Alpes (Chamonix, France, alpinisme), les Chilcotins (C.-B., Canada, course en sentier), la Corse (France, course en sentier), les Dolomites (Italie, escalade), la vallée Ghost River (Alberta, Canada, escalade), le Grand Teton (Wyoming, États-Unis, alpinisme), les Alpes suisses (Suisse, course en sentier), le bassin Titcomb (Wyoming, États-Unis, course en sentier), les Tombstones (Yukon, Canada, randonnée) ou encore le secteur du massif Wind River (Wyoming, États-Unis, escalade).
À noter, certains voyages seront uniquement destinés aux femmes. Et pour ceux et celles qui voudraient une aventure encore plus exclusive, des voyages privés seront aussi possibles.
Tout cela a un prix évidemment: entre 3000 $CAN et 8000 $CAN par personne, taxes incluses. À cela il faut ajouter les frais de déplacement à partir de votre lieu de résidence jusqu’à la destination de départ.
Aventure verticale dans les Dolomites, en Italie. — Photo Arc’teryx Trips
Une fois sur place, vous aurez un accès privilégié à certains guides et athlètes des plus réputés dans un format intimiste, avec un petit ratio clients/guide. Du nombre, notons notamment la skieuse professionnelle Jessica Baker, le montagnard Walter Zoerer, le coureur Adam Campbell et la skieuse et coureuse Janelle Smiley.
Les réservations débutent dès maintenant et pour tous les détails sur les aventures, visitez le trips.arcteryx.com.
Preuve de la confiance dans ses vêtements et ses équipements, le fabricant canadien Arc’teryx s’attaque à son tour à la surconsommation et la surfabrication en mettant en place le programme Rock Solid Used Gear.
Du coup, sous certaines conditions — mais seulement pour le marché américain dans l’immédiat —, Arc’teryx propose de racheter manteaux, pantalons et autres sacs à dos qui ne servent plus. Les pièces reprendront ensuite une vie d’aventures avec un nouveau propriétaire.
Un programme de vente de vêtements et d’équipements usagés qui suit celui du géant californien Patagonia et son Worn Wear.
Une façon de réduire les vêtements et équipements envoyés aux ordures ou encore qui sont sous-utilisés.
«Nous utilisons plus de ressources que nous aimerions d’une planète surutilisée. C’est un problème. C’est pourquoi nous voulons que vous considériez ce manteau, non pas comme un manteau, mais comme un cercle. Si vous ne le portez plus, nous trouverons quelqu’un qui le fera», explique Arc’teryx sur le site dédié à Rock Solid Used Gear.
Pour le marché américain, Arc’teryx propose un site Web transactionnel pour son programme Rock Solid Used Gear. — Photo tirée de rocksolid.arcteryx.com
Voilà donc une bonne nouvelle pour l’environnement quand deux joueurs d’importance de l’industrie du plein air montrent de la sorte la voie à suivre pour le futur. Espérons que les initiatives se généraliseront chez les autres fabricants.
Au final, c’est aussi une bonne nouvelle pour les consommateurs qui pourront profiter de produits encore en pleine forme, à prix réduits.
Idem pour les collectionneurs et autres mordus des deux marques qui pourront dénicher des pièces rares ou uniques, ainsi remises en circulation.
Autant Arc’teryx que Patagonia ont mis en place une procédure pour recevoir le matériel usagé, l’évaluer, le racheter, le nettoyer et le remettre en état pour la revente sur le Web.
Reste à savoir quand l’initiative d’Arc’teryx sera aussi en vigueur au Canada.
Probablement une affaire de taille de marché qui justifie ce départ 100% américain, question d’avoir suffisamment de produits usagés pour faire marcher le programme, tout en simplifiant le processus de rachat et de revente à l’intérieur d’un même territoire.
S’il nous faudra être patient pour pouvoir tirer avantage à notre tour du marché de l’usagé de la sorte, voilà tout de même un pas dans la bonne direction.