Il devient facile d’oublier les risques encourus en kayak de rivière, lorsque les limites sont repoussées.
Ramené en circulation sur les réseaux sociaux récemment, un extrait d’une série documentaire du National Geographic en fait l’ultime démonstration.
Une descente calculée pour des kayakistes expérimentés vire soudainement au cauchemar. L’action date d’il y a quelques saisons, en février 2017 en Nouvelle-Zélande, et met en action le Québécois Mike Roy, membre du collectif Québec Connection.
Tout bascule quand le kayakiste d’expérience Ryan Lucas atterit à plat en sautant une chute de 25 mètres dans le parc Kaimanawa et perd conscience.
À l’eau pour assurer sa sécurité, Mike Roy fait alors l’impossible pour tirer son copain insconcient du pétrin. De longues minutes s’écoulent durant lesquelles Lucas reste immergé…
Malgré la panique bien réelle que l’on peut entendre et percevoir chez Roy, les caméras GoPro embarquées donnent un aperçu du sang-froid du Québécois dans ses efforts pour sauver et réanimer son malheureux compagnon.
En cette période de bilans et de fin d’année, le moment est bien choisi pour vous transmettre nos plus sincères remerciements et meilleurs voeux.
D’ici son retour en 2020, toute l’équipe de L’Appel de l’aventure tient à vous dire un immense merci pour votre intérêt envers le podcast et le blogue en 2019.
De la part de Sébastien Lapierre et de Joanie St-Pierre, de même qu’en mon nom personnel, nous vous souhaitons de très, très joyeuses Fêtes.
Et que votre année 2020 soit remplie d’aventures spectaculaires et dépaysantes.
Je profite également de l’occasion pour remercier officiellement nos précieux et nombreux invités qui nous ont fait confiance et qui ont osé s’installer devant notre micro pour se raconter. Merci les ami(e)s!
Merci également à nos fidèles partenaires de la première heure: Arc’teryx et la boutique Pagaie Québec. Partagez notre affection pour ces deux entreprises en magasinant chez eux sans modération!
De notre côté, nous poursuivons notre planification et nos efforts pour vous revenir en force pour la saison 02. Les idées ne manquent pas et nous vous réservons des surprises!
Notez que le balado L’Appel de l’aventure, principal podcast plein air au Québec, est produit et réalisé de manière entièrement indépendante. Démontrez donc votre appartenance et votre soutien à votre podcast plein air préféré en soutenant ses créateurs sur Patreon ou encore directement.
Nous vous remercions à l’avance de faire une différence pour la suite et d’être encore au rendez-vous prochainement.
Question de clore la première saison de L’Appel de l’aventure en beauté, Jean-Sébastien, Sébastien et Joanie St-Pierre partagent quelques-uns de leurs produits préférés dans l’épisode 14.
Dans ce dernier texte d’une série de trois, voici la liste de Jean-Sébastien Massicotte.
C’est la doudoune d’expédition par excellence quand le mercure descend au plus bas.
Grâce à une coupe différentielle entre les parties extérieure et intérieure, le duvet de première qualité de puissance 850 offre un gonflement enveloppant tout en ne donnant pas à l’utilisateur l’impression d’être le Bonhomme Michelin. La membrane Gore Thermium protège quant à elle des précipitations.
Le Firebee est assez compact pour le transport dans l’action et vient avec un sac de rangement intégré.
Pour un usage moins extrême, un choix à considérer est la gamme Cerium, également de notre partenaire Arc’teryx.
La version LT est sans doute la plus polyvalente comme doudoune de service. En hiver, elle est parfaite par-dessus tous les vêtements pendant les arrêts, ou sinon comme couche intermédiaire par temps très froid.
Elles ont toutes les qualités pour briller dans les conditions les plus rigoureuses: enveloppe en Gore-Tex imper-respirante, paumes en cuir, coutures en kevlar, doublures amovibles, cordons de sécurité aux poignets… la liste est longue!
Testées sur les plus haut sommets du monde, les mitaines Alti Mitts ne font qu’un compromis, soit celui de la dextérité fine.
En combinaison, «Js» arrive à manipuler les commandes de ses appareils photo sans avoir à se dénuder les mains. Idem pour l’écran tactile de son téléphone, puisque le Stormtracker est doté de doigts en cuir Sensor.
Un ensemble ultraperformant à toutes les températures et qui a fait ses preuves dans une panoplies d’activités en conditions hivernales.
Prix: 230 $CAN et 90 $CAN
Sacs étanches Watershed
Depuis plusieurs années, Jean-Sébastien utilise les sacs de la compagnie Watershed pour transporter sur — et dans — l’eau ses plus fragiles équipements.
Souples et entièrement submersibles, les sacs Watershed possèdent une fermeture unique, appelée ZipDry, qui est supposément étanche jusqu’à… 90 m!
À bord de kayaks et d’autres embarcations, Jean-Sébastien a utilisé amplement les modèle Ocoee et Chattooga, qui possèdent respectivement de volumes de 15 et 30 litres.
La fermeture à glissière étanche en diagonal du sac rend le contenu facilement accessible tout en assurant la protection parfaite du matériel, aussi fragile soit-il.
Ce sac de pont est particulièrement bien adapté pour un usage en surf à pagaie.
Prix: à partir de 118 $US et 270 $CAN
Réchaud MSR Reactor
Si vous n’avez pas encore essayé les réchauds de type radiant, il est grand temps de vous y mettre.
Compact et simple à utiliser dans l’action, le Reactor est d’une rapidité redoutable quand vient le temps de faire bouillir de l’eau.
Cependant, oubliez ici la capacité à mijoter des repas. Le réchaud en question est conçu pour faire fondre de la neige et faire bouillir l’eau pour les mets déshydratés. That’s it!
Économe en carburant, le Reactor est robuste et polyvalent avec ses trois formats de casseroles disponibles (1 litre, 1,7 litre et 2,5 litres).
Ce tout-en-un se distingue également des réchauds à cartouche standards par sa capacité à fonctionner même sous zéro, au-delà des -10 ºC.
Prix: à partir de 275 $CAN
Connecteur à cartouches Gas Saver+ de G-Works
C’est le genre de gadget à la simplicité si désarmante qu’on se demande pourquoi il n’a pas été inventé plus tôt…
Si comme Jean-Sébastien vous vous retrouvez avec une série sans fin de cartouches de carburant à moitié pleines — ou vides, c’est selon — à la maison, le connecteur Gas Saver+ de G-Works tombera à point.
Le scénario est connu; au moment de partir à l’aventure avec un réchaud à cartouche, le désir de transporter un réservoir de carburant plein l’emporte plus souvent qu’autrement. Si bien que s’additionne ainsi les cartouches partiellement utilisées dans l’atelier.
Grâce au Gas Saver+, il est possible de connecter deux cartouches ensemble pour tranférer le gas d’une à l’autre.
Il suffit de mettre au froid celle qui doit «recevoir» le combustible pour diminuer la pression dans celle-ci. Et le tour est joué!
Idéalement, il est préférable de faire la manoeuvre à l’extérieur et en utilisant une balance pour s’assurer de respecter un transfert adéquat.
L’accessoire machiné avec soin par G-Works, une obscure entreprise coréenne, n’est pas donné, mais il permet de réaliser des économies quand on doit utiliser régulièrement des cartouches de petits formats.
La possibilité de remplir plus d’une fois à partir de formats plus grands — et moins dispendieux — fera une différence pour le portefeuille et l’environnement à la longue.
Dotée d’un filtre à fibres creuses d’un indice de porosité de 0,1 micron, la bouteille BeFree présente un étonnant débit de deux litres à la minute. Si bien qu’y boire est pratiquement l’équivalent d’utiliser une gourde sans filtre.
Barrière physique aux impuretés, la BeFree protège contre les bactéries et les sporocystes dangereux. Pour les virus, il faudra y ajouter une protection chimique, comme un composé de chlore de type Pristine.
Mais pour un usage simple dans de nombreuses situations au Québec, la BeFree — disponible en version de 0,6 litre, 1 litre et 3 litres — sera parfaite.
Facile à nettoyer, le filtre de la BeFree a une durée de vie de 1000 litres.
Prix: 50 $CAN
Outil multifonction Leatherman Wave
Incroyable, mais Leatherman aurait vendu plus de 10 millions d’exemplaires de son outil multifonction Wave. Dix millions! Rien que ça!
Jean-Sébastien possède un exemplaire de ce légendaire Leatherman et il le traîne toujours — ou presque — avec lui.
Un coffre à outils portatif qui est prêt à toutes les tâches, dans toutes les situations.
L’ensemble d’embouts de tournevis (30 $CAN) et la rallonge (22,50 $CAN) en option couvrent la très grande majorité des besoins. Et une fois le Wave et ses accessoires rangés dans l’étui en nylon, le tout est ultra compact.
Pour ses 35 ans d’existence, Leatherman a corrigé très légèrement l’outil en y ajoutant un coupe-fil remplaçable dans ce qui est devenu le Wave+. La perfection… améliorée!
Prix: 124 $CAN
Montre intelligente Garmin Fenix 5x
S’il y a un accessoire qui ne quitte jamais Jean-Sébastien dans toutes les circonstances et activités, c’est bien sa montre GPS Garmin de la série Fenix.
Après la Fenix 3, il utilise depuis déjà quelques années la 5x avec verre saphir.
Un précieux outil de planification et de suivi sur le terrain quelque soit le sport ou le type de sortie.
Ordinateur de bord, station météo, poste de contrôle pour les notifications et le contrôle de la musique du cellulaire… la 5x est une vraie surdouée.
À l’entraînement en course à pied, à vélo, en kayak ou encore en rando, la Fenix enregistre avec précision et sans faille tous les paramètres du moment, pour ensuite les transférer automatiquement sur Garmin Connect, l’application de compilation et de partage des données du géant de l’électronique.
La robustesse de la 5x est particulièrement remarquable. Malgré un usage quotidien qui se compte en années, la montre paraît encore presque neuve. La lunette en verre saphir est toujours immaculée sans aucune protection supplémentaire.
Si Jean-Sébastien ne peut se passer de sa montre Fenix, un autre appareil de Garmin compte dans les équipements incontournables du sportif: le inReach Explorer+.
Depuis les tous débuts des appareils inReach, les tests ont toujours été concluants.
De la Baie-James aux monts Groulx en passant par le sommet d’Hawaii à plus de 4200 m, le communicateur par satellites a permis à «Js» de rester en contact avec proches et amis, tout en étant prêt aux situations d’urgences lorsque loin des réseaux de communication.
Fort du succès des ses appareils inReach, Garmin (qui a racheté la division à DeLorme en 2016) a bonifié la gamme. Dans tous les cas, l’utilisation des appareils à partir de l’application mobile Earthmate est d’une efficacité rassurante.
Des appareils qui nécessitent un forfait d’abonnement mensuel, variable selon les besoins, mais qui peut être suspendu à faible coût.
Un investissement qui offre cependant un réelle paix d’esprit lorsque l’aventure nous amène loin dans la nature. Et ça, ça n’a pas de prix.
Prix: 520 $CAN, plus forfait d’abonnement
Écoutez la mention spéciale concernant nos choix présentés et nos liens avec certains fabricants et partenaires.
Écoutez le plus récent épisode de L’Appel de l’aventure — votre balado plein air
Question de clore la première saison de L’Appel de l’aventure en beauté, Jean-Sébastien, Sébastien et Joanie St-Pierre partagent quelques-uns de leurs produits préférés dans l’épisode 14.
Dans ce deuxième texte d’une série de trois, voici la liste de Joanie St-Pierre, de Ti-Mousse dans Brousse et notre collaboratrice famille.
C’est que le géant américain du vêtements d’aventure compte bien révolutionner la confection des pièces technique et la façon dont on imagine l’usage des manteaux et autres accessoires imper-respirants.
Au coeur de la membrane Futurelight, une nouvelle structure en nanofibres. Résultats: le fabricant propose une souplesse et une légèreté inégalées grâce à un tissu ultramince et respirant comme jamais.
Il faut le voir pour constater la différence dans l’approche de The North Face.
Écoutez Joanie expliquer son appréciation du nouveau manteau L5 Futurelight dans son arsenal.
Prix: 600 $CAN
Combinaison une pièce The North Face Campshire
Vous comprendrez que notre collaboratrice famille à L’Appel de l’aventure se devait de vous proposer des vêtements et accessoires pour les tout-petits.
Valeur sûre pour les petits aventuriers de 0 à 24 mois, le Campshire de The North Face est véritablement adorable.
Le one-piece en laine polaire garantit de garder les infiltrations d’air froid à distance tout en facilitant la vie des parents quand vient le temps de (dé)vêtir les petits.
Cute avec ses oreilles d’ourson sur le capuchon, le Campshire fait aussi sa part pour l’environnement avec une fabrication en polyester, dont 30% est recyclé.
Ça donne le goût de retomber en enfance!
Prix: 90 $CAN
Bas de laine de ski pour bébé Smartwool ou Kombi
Accessoires souvent négligés, les bas pour les petits aventuriers sont tout aussi importants que ceux pour les grands!
Joanie rappelle que de bons bas pour protéger les petits orteils sont un gage de confort qui vaudra amplement l’investissement.
Certes, les petits grandissent vite, mais de bons bas de qualité rendront de précieux services et garderont une bonne valeur de revente.
Types de tissage, matières utilisées… les fabricants rivalisent d’ingéniosité pour proposer des produits efficaces. Du lot, Joanie apprécie notamment ceux de Smartwool et de Kombi.
Prix: variable
Isolant à gourde
On a jasé dans l’épisode 14 du podcast des différents usages possibles pour la légendaire bouteille Nalgene d’un litre.
Joanie laisse à Sébastien certaines pratiques d’explorateur polaire, mais suggère à son tour l’usage d’une bouillotte par temps froid.
Et question de conserver l’eau la plus chaude possible le plus longtemps, l’isolant à gourde est un incontournable.
Résistant et ultra pratique à l’année, le Bottle Parka permet l’hiver de conserver l’eau chaude plus longtemps tout en évitant de rendre la bouteille brûlante au toucher lorsqu’on la glisse dans la doudoune ou le sac de couchage.
Prix: 39 $CAN
Housse de portage Babygloo de Chimparoo
Parce que l’hiver n’est pas une raison pour rester à l’intérieur avec bébé, Chimparoo propose une housse de portage pour affronter le froid en toute confiance.
Joanie recommande le Babygloo qui s’utilise avec les porte-bébés, les sièges d’auto et les poussettes.
De -20 ºC à 15 ºC, le Babygloo assure le confort des enfants de 0 à 36 mois.
Joanie apprécie particulièrement la polyvalence du produit, qui comporte des fermetures à glissière et des courroies élastiques qui permettent un ajustement tout au long de la croissance et des usages. Aussi, le Babygloo s’ouvre complètement.
De l’abonnement annuel à celui de seulement quelques jours, il est possible de partir avec l’esprit tranquille en sachant que quoi qu’il arrive, une équipe de professionnels pourra voler à notre secours.
Question de couvrir le 75% du territoire québécois qui n’est pas couvert par le service d’urgence 9-1-1, Joanie compte sur le seul service privé du genre dans la province.
Réalisation du duo père-fille Gérald Le Gal et Ariane Paré-Le Gal, Forêt, identifier, cueillir, cuisiner vous transporte des bois à l’assiette dans un voyage abondamment imagé.
Si vous cherchez une bonne référence pour les plantes comestibles et leurs usages, vous avez trouvé!
Prix: 35 $CAN et 44 $CAN
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Question de clore la première saison de L’Appel de l’aventure en beauté, Jean-Sébastien, Sébastien et Joanie St-Pierre partagent quelques-uns de leurs produits préférés dans l’épisode 14.
Dans ce premier texte d’une série de trois, voici la liste de l’aventurier Sébastien Lapierre.
Vêtements en laine mérinos
Tuques, couches de base, gants, bas… le mérinos a sa place partout et dans toutes les déclinaisons.
Si plein de fabricants proposent des articles performants en laine de mérinos, Sébastien peut recommander les articles de Smartwool avec assurance, lui qui a porté les vêtements de la marque pendant son expédition au pôle sud.
Prix: variable
Outil multifonction Victorinox
À défaut de transporter un coffre à outils complet, l’outil multifonction Swiss Tool Spirit XC est probablement le meilleur choix pour faire face à n’importe quelle réparation imprévue.
Il se distingue notamment par sa clé à cliquet unique, qui se range malgré tout dans un étui d’un faible encombrement.
Pour le transport de boissons ou encore comme bouillotte en camping d’hiver, les Nalgene sont toujours pratiques.
Découvrez dans le podcast comment Sébastien utilise la sienne…
Prix: 17 $CAN
Sac à dos Osprey Kamber 32
Le sac à dos de Sébastien a perdu un peu de son éclat après son long séjour en Antarctique, mais son Osprey Kamber 32 a davantage de personnalité… et il est toujours aussi efficace!
C’est d’ailleurs son sac à dos tout usage préféré!
Imaginé pour le ski d’aventure, le Kamber est malgré tout d’une grande polyvalence en toute saison.
Prix: 220 $CAN
inReach Explorer
Toujours à ses côtés dans ses aventures loin de la civilisation, le communicateur inReach Explorer est un fiable compagnon pour Sébastien.
Grâce au communicateur par satellites, l’aventurier peut rester en contact avec proches et amis sous la forme de messages textes, même hors de la couverture cellulaire.
C’est aussi un GPS avec cartes intégrées. Et bien sûr, une balise d’urgence qui permet d’entrer en contact avec les autorités compétentes si jamais les choses tournent mal.
Preuve de la fiabilité et de la robustesse de l’appareil, Sébastien utilise toujours la version originale de l’Explorer, manufacturée à l’origine par DeLorme.
Véritable ordinateur de poignet, la montre Suunto Ambit 3 Peak a rendu de fiers services à Sébastien, autant à l’entraînement que durant ses expéditions.
De la distance parcourue, à la météo à prévoir, en passant par l’altitude ou la température, la Suunto permet de garder à l’oeil les variables des aventures en cours.
Si elle date déjà de quelques années et a depuis été remplacée par des versions plus récente chez Suunto, la Ambit 3 Peak conserve une place de choix au poignet de Sébastien.
Prix: non disponible
Réchauds MSR Pocket Rocket et XGK
C’est connu, un aventurier affamé n’ira pas tellement loin!
Léger, compact et facile à utiliser, le Pocket Rocket se trimballe facilement partout et n’abandonne jamais.
En hiver, pour faire fondre la neige en vue des corvées d’eau, le légendaire XGK de MSR demeure le réchaud de choix en conditions difficiles.
Malgré sa vénérable douzaine d’années et un usage intensif en expédition, dont au Groenland et en Antarctique, le XGK de Sébastien reste toujours aussi efficace, notamment grâce à la possibilité d’en faire aisément l’entretien.
Prix: 60 $CAN et 200 $CAN
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Depuis l’annonce de l’arrivée de l’escalade aux Jeux olympiques de Tokyo en 2020, un intérêt marqué est accordé depuis au volet vitesse de la discipline. Et quand Red Bull s’intéresse à la chose, ça donne un défi assurément divertissant…
Le géant de la boisson énergisante a en effet convaincu Marcin Dzieński, le champion européen de vitesse, de compétitionner contre un ascenceur.
Le course se joue sur un mur extérieur de 23 mètres en Pologne, au centre d’entraînement olympique.
Au-delà de la rivalité entre l’homme et la machine, la vidéo de Red Bull présente un survol détaillé de la discipline qui sera présentée au monde entier à Tokyo.
Aux JO, Dzieński sera à surveiller sur le mur de compétition — toujours identique au niveau des dimensions et des prises —qui aura alors 15 mètres de haut. Mais il aura de la sérieuse compétition, alors que le légendaire Adam Ondra, considéré par plusieurs comme le meilleur grimpeur au monde, s’est mis à la vitesse en vue du grand rendez-vous.
Je ne dévoilerai pas le punch de la course entre Dzieński et l’ascenseur, mais disons simplement qu’il faudra peut-être se poser la question quand vient le temps de gravir un édifice à étages la prochaine fois: je prends l’ascenceur, l’escalier… ou le mur?
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C’est vraiment cool. Très cool même. Pionnier pour la remise en service de vêtements plein air usagés avec son programme Worn Wear, Patagonia repousse encore une fois les limites du possible. Découvrez ReCrafted, une collection unique réalisée à partir d’articles Patagonia en principe irrécupérables.
Des initiatives qui prennent de l’importance et pour lesquelles les consommateurs sont de plus en plus sensibles. Preuve en est, le succès du programme de réparation Worn Wear de Patagonia, par lequel le fabricant californien a mis en place un service poussé de restauration pour éviter que des vêtements usés et endommagés aboutissent aux ordures.
Mais conséquence: tout n’est pas récupérable et réparable. D’où l’idée pour Patagonia de combiner des vêtements ensemble — jusqu’à six pour une veste — pour créer des nouveaux articles!
Confectionnés à la main en Californie par des artisans talentueux, les pièces de la collection ReCrafted comportent des vêtements variés et divers sacs notamment.
Pour l’entreprise fondée par Yvon Chouinard, il s’agit là de mettre de l’avant la «mode lente», où les vêtements perdurent et revivent le plus longtemps possible sous diverses formes avant de finir éventuellement à la poubelle.
En agissant ainsi, on assure que l’impact négatif de la fabrication de vêtements est de beaucoup diminué.
Avec la collection ReCrafted, il faut aimer le style patchwork, mais il y a quelque chose de sympathique dans le fait de savoir que chaque morceau est unique, imparfait, et qu’il renferme un vécu étonnant, une personnalité propre.
Ainsi, des shorts Stand Up des années 80 qui ont fait le tour du monde sont peut-être aujourd’hui une partie d’un sac de voyage ReCrafted.
Très cool, je vous disais.
Encore plus quand on sait que chaque article contribue à sauver la planète.
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On ne pourra pas reprocher au géant Salomon de ne rien faire pour sauver la planète. Histoire de diminuer son empreinte écologique, le fabricant français a développé un soulier de course concept entièrement recyclable… en botte de ski!
Une belle manière pour moins se sentir coupable d’avoir à mettre au rebut ses vieilles paires d’espadrilles. Elles revivront entièrement en de nouvelles chaussures qui serviront à aller jouer en montagne!
La chaussure concept est développée dans un seul matériel, le polyuréthane thermoplastique (TPU). Du coup, Salomon peut réduire l’espadrille en totalité en granules, qui serviront ensuite à la fabrication des coques des bottes de ski.
Selon le fabricant, il s’agit là d’un effort pour contribuer à l’économie circulaire, une façon de repousser la mise à la poubelle des matériaux utilisés dans ses équipements.
Au coeur du concept, l’usage à 100% du TPU dans une chaussure, au lieu d’un ensemble de matériaux variés. Selon Salomon, en utilisant deux types de TPU, il est possible de créer un soulier respirant, léger et performant pour la course à pied.
Preuve que le concept est bien plus qu’un coup de pub, il devrait être intégré en partie dans la gamme de chaussures de course de Salomon qui seront disponibles aux consommateurs en 2021.
Un pas pour Salomon dans la direction annoncée d’avoir 100% de ses nouveaux produits imaginés selon l’un ou plusieurs des principes d’économie circulaire en 2025.
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Au programme de l’épisode 13 de L’Appel de l’aventure, votre balado plein air, on se prépare de belles façons pour l’hiver.
Dans un premier temps, on s’acclimate au froid hivernal avec l’aide de notre chroniqueuse famille Joanie St-Pierre de Ti-Mousse dans Brousse (3:38).
Concepts de base, conseils et suggestions en prévision de l’arrivée de l’hiver, histoire d’assurer un maximum de confort et d’agrément pour les petits et les plus grands!
Et question d’être fin prêt à tous les niveaux, Sébastien nous propose (34:01) quelques activités hivernales à ne pas manquer, mais qui demandent de la préparation pour y participer.
Puis, Jean-Sébastien s’entretient avec Dany Julien (37:50), l’un des instigateurs du retour du Festiglace (www.festiglace.org), le réputé rassemblement de grimpeurs qui a fait vibrer les parois de glace et de roche de Portneuf de 1998 à 2007.
L’histoire serait presque drôle si elle n’était pas ponctuée de poursuites judiciaires.
C’est que le géant de la vente en ligne d’équipements de plein air, Backcountry.com, s’est mis en tête qu’il devait protéger son nom de commerce.
Protéger «backcountry» et poursuivre tous ceux qui l’utilisent sans autorisation. Des douzaines de cas comportant le terme dans leur nom seraient répertoriés.
Le problème, c’est que le mot anglophone qui signifie «arrière-pays» est plutôt commun et générique. D’où le questionnement et la frustration de plusieurs qui dénoncent cette appropriation plutôt sauvage, à grands coups d’avocats.
Un peu comme si tout à coup, «plage», «montagne», «aventure» ou encore «mer» devenaient des termes interdits d’utilisation.
Rapportant la nouvelle à la fin du mois d’octobre, le journal The Colorado Sun pose même la question à savoir s’il s’agit là d’une bonne pratique commerciale… ou plutôt d’intimidation inacceptable?
Backcountry a déposé la marque il y a environ un an pour la protéger spécifiquement d’un usage pour des sites de ventes en ligne ou pour des équipements de plein air. Depuis, le géant poursuit toutes les petites entreprises qui utilisent «backcountry» dans leur nom. Même si elles avaient déposé la marque avant.
The Colorado Sun donne notamment en exemple le fabricant de jeans Backcountry Denim, poursuivi en mars dernier. Après une sérieuse bataille, la petite entreprise a dû perdre son nom et devenir BDCo.
Un groupe baptisé Backcountry Babes, qui organisait des formations en sécurité aux avalanches auraient même été poursuivi.
Une saga qui prend une drôle de tournure quand on sait qu’un autre géant du plein air, Backcountry Access, n’a pas été inquiété. Son cofondateur, Bruce Edgerly, souhaitait par ailleurs convaincre son ami et cofondateur de Backcountry.com, John Bresee, de cesser les manoeuvres de protection et les poursuites généralisées.
Mais Bresee est décédé subitement dans son sommeil en juin. Et les actions se poursuivent…
«Je crois que personne ne devrait pouvoir détenir les droits sur le terme «backcountry», estime pour sa part Jordan Philips, fondateur des jeans désormais appelés BDCo.