En action au Défi kayak Desgagnés!

Question de ne rien rater de l’action, Sébastien et moi-même seront parmi les 150 kayakistes du 5e Défi kayak Desgagnés entre Montréal et Québec.

Du 15 au 18 août, nous allons affectuer 250 km au fil de l’eau pour le bénéfice de l’organisme Jeunes musiciens du monde.

Il s’agira pour nous deux de notre troisième participation au Défi kayak.

Intégrés à l’équipe d’encadreurs, nous allons néanmoins vous partager nos aventures sur les réseaux sociaux (Facebook et Instagram), accessibles notamment dans les fenêtres de la page d’accueil du blogue.

Nous travaillons également sur un épisode spécial de notre podcast L’Appel de l’aventure, pour souligner les cinq ans du Défi. Ce sera à surveiller!

En attendant, l’épisode 07 de la baladodiffusion est déjà accessible sur vos plateformes préférées!

Dans un premier temps le spécialiste de la survie André-François Bourbeau nous revient dans un segment inédit de l’entretien qu’il nous avait accordé à l’épisode 05. Il nous raconte sa participation au récent Global Bushcraft Symposium. Et il est même question de Bear Grylls!

Puis, question d’être dans l’ambiance du Défi kayak, le pagayeur de Charlevoix Martin Vallières nous amène avec lui sur la Basse-Côte-Nord et au Labrador.

Bonne écoute!


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Explorez en détails les voies d’El Capitan grâce à une spectaculaire giga photo

Un duo de photographes a rendu possible un spectaculaire portrait presque nature des voies du légendaire El Capitan, dans le parc national de Yosemite, livrées dans leurs moindres détails grâce à une assemblage de photos gigapixel.

Le résultat stupéfiant est l’oeuvre d’Eric Hanson, de Blueplanet VR, et de Greg Downing, de HyperAcuity.

Le duo a d’abord pris 2000 photos en continue d’Erik Sloan et de Roger Putnam, deux amis grimpeurs, tandis qu’ils étaient en action sur le Nose. Une ascension qui a duré sept heures.

Comme des petites fourmis, les deux grimpeurs paraissent ainsi au centre du géant, captés dans pratiquement chacun de leurs mouvements dans l’image composite.

Image composite d’Erik Sloan et de Roger Putnam en action durant leur ascension du Nose, sur El Capitan. — Photo tirée de l’assemblage Gigapixel réalisé par blueplanetVR et Hyperacuity

Le lendemain, Hanson et Downing ont ajouté 2000 autres photos pour saisir chaque détails du célèbre mur de granite californien.

Le panorama ultra haute résolution a été pris à l’aide d’un lentille Canon de 800 mm, dirigée par une tête de trépied motorisée qui a quadrillé la scène pour ne rien rater.

La fabuleuse création est rendue possible par la technologie gigapixel, qui consiste à faire l’assemblage d’une multitude de photos grâce à un logiciel spécialisé.

Dans ce cas, il aura fallu plus de deux ans pour compléter le montage et y ajouter les informations sur les dizaines de voies.

Le fantastique résultat se trouve ici.


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Épisode 06 / Séjour chez Huttopia et les défis par le plaisir selon le sportif et auteur Pierre Beauregard

Au programme de l’épisode 06, on vous amène faire un séjour au centre de villégiature Huttopia Sutton, et l’athlète, aventurier et auteur Pierre Beauregard nous présente son approche des défis par le plaisir.

Épisode présenté en collaboration avec www.arcteryx.com, en partenariat avec la boutique www.pagaiequebec.com

1:42 // Discussion d’intro: Sébastien nous partage sa plus récente aventure… passée sous la loupe déformante des réseaux sociaux. À lire au jsmassicotte.info

3:20 // Jean-Sébastien a été invité à expérimenter un séjour chez Huttopia Sutton. Vous connaissez les tentes du même nom, mais connaissez-vous le concept de centre de villégiature?

Feu de camp chez Huttopia à Sutton — Photo Jean-Sébastien Massicotte

14:57 // Entretien fort rafraîchissant en compagnie de Pierre Beauregard, athlète et aventurier multidisciplinaire, auteur du livre L’Approche des défis par le plaisir: Toujours gagnant!

PROMO: Notez le code mentionné durant l’épisode 06 et obtenez 10% de rabais à l’achat du livre quand vous le commandez directement à Pierre. Mentionnez le code en lui écrivant par courriel.


L’Appel de l’aventure, c’est tout pour vous tenir informé et vous faire découvrir ce qui anime et fait vibrer la planète plein air. Un magazine en baladodiffusion produit et animé par Jean-Sébastien Massicotte, journaliste et chroniqueur plein air, et coanimé par l’aventurier Sébastien Lapierre.

Podcast hébergé sur Soundcloud: @lappeldelaventure


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Et vous aimez VRAIMENT notre projet, principal podcast plein air indépendant au Québec? Faites une différence: www.jsmassicotte.com/lappeldelavent…tez-le-podcast

L’aventure selon Lapierre: le vrai et le faux à la sauce des médias sociaux

L’aventurier Sébastien Lapierre s’est amusé à voir — et à revoir — une récente excursion dans les Hautes-Laurentides sous la loupe déformante des médias sociaux. Preuve qu’entre le récit et la réalité, il y a parfois deux mondes!

RÉCIT SENSATIONNEL (entre parenthèses et en italique se trouvent les faits sans exagération… Comme quoi tout ce qu’on voit et lit sur les réseaux sociaux n’est pas toujours exact et qu’un récit d’aventure, même véridique, peut facilement induire en erreur)

Site de camping paradisiaque sur le bord d’une jolie rivière des Hautes-Laurentides alors que le paysage s’efface discrètement dans la brume matinale de ce frais matin de juillet.

Un endroit discret et relaxant (si on fait abstraction du pont enjambant la rivière et sur lequel roulent de nombreux véhicules lourds) découvert un peu par hasard après une longue progression (10 minutes, c’est plus long que 2…), à travers la forêt dense (il y avait toutefois un petit sentier) et le long de parois escarpées (ça c’est quand je marchais sur le route asphaltée) alors que je tentais de pousser plus loin l’exploration de ce cours d’eau inconnu (inconnu de plusieurs milliards de personnes sur terre, les Chinois ne la connaissent certainement pas cette petite rivière).

La conclusion aurait toutefois pu être bien différente et dramatique (comme toute journée de notre vie après tout). Voulant progresser à tout prix (je voulais juste m’éloigner le plus possible de ce pont), je m’accroche à une branche alors que je suis suspendu à plusieurs pieds (deux pieds c’est plusieurs selon la langue française) au dessus du lit de la rivière.

Alors que j’effectue un transfert de poids, je sens la branche faiblir, puis se casser! Je suis conscient qu’une chute dans ce fort courant (c’est fort de l’eau) pourrait m’être fatale (si je tombe et que je garde la tête immergée assez longtemps je risque de me noyer), mais heureusement je chute tout près d’un contre-courant (de toute façon, à cet endroit il n’y a qu’environ 40 cm de profondeur) qui me permet de m’extirper de ma fâcheuse position… Je l’ai échappé belle!

Mais je ne suis pas au bout de mes peines: l’hypothermie me guette (si je reste là sans bouger complètement trempé, il se pourrait que je me mette à frissonner, ce qui est le premier degré d’une hypothermie légère).

Il me faut vite établir le campement (il commence à faire noir après tout!), me changer en espérant que le contenu de mon sac à dos est encore sec (surtout ma boîte de Pringles!) et surtout me mettre à l’abri des nombreuses bêtes sauvages assoiffées de sang (il y a des maringouins par centaine!!!) qui rôdent autour de moi.

Je découvre heureusement cette petite plage sablonneuse au détour d’un méandre (je suis revenu sur mes pas vers la petite plage au pied du pont) où je décide de m’installer pour la nuit.

C’est finalement complètement exténué (bon disons plutôt un peu fatigué) que je m’endors enfin après avoir réussis à me nourrir avec quelques réserves trouvées au fond de mon sac à dos (j’avais pris un bon souper au resto quelques heures avant donc je n’avais pas si faim, mais j’avais au fond de mon sac à dos quelques canette de boisson alcoolisée pour mon séjour… il y a quand même pas mal de calories là-dedans!)


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S’envoler au-dessus du Tour de France

Faut-il célébrer ou plutôt dénoncer pareille «tradition» désormais en place durant le Tour de France?

La question reste entière, mais qu’importe la réponse le spectacle d’un kamikaze au guidon de son vélo de montagne qui s’envole au-dessus du peloton reste à coup sûr spectaculaire.

La cascade n’est pas nouvelle, mais le Français Valentin Anouilh a voulu à son tour rendre «hommage» à la plus importance course cycliste de la planète et à ses athlètes.

Durant l’étape de lundi dernier entre St-Flour et Albi, le casse-cou de 19 ans a trouvé l’endroit propice pour son envolée.

Au-delà du courage — ou de la folie! — qu’il faut pour réaliser pareil saut de 16 mètres, c’est une question de synchronisme qu’il faut avoir pour défier le peloton de la sorte.

Valentin Anouilh a survolé le peloton du Tour de France lundi durant l’étape entre Saint-Flour et Albi. — Photo tirée de YouTube

Un saut qui doit aussi être préparé dans la plus grande discrétion pour ne pas éveiller les soupçons des forces de l’ordre et des organisateurs, qui ne sauraient tolérer pareille action.

Depuis 2003, une série de cyclistes n’ayant pas peur aux yeux ont pourtant réalisé l’exploit durant le Tour de France.

L’an passé, Alexis Bosson avait fait sensation durant une étape, survolant le peloton avec un saut sans les mains qui avait été capté en direct durant la retransmission mondiale du Tour.

Ça méritait presque le maillot jaune…

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De l’ascension de l’Everest à la traversée de la Manche en moins de sept semaines

L’Américain Rob Lea avait de grandes ambitions ce printemps: gravir le mont Everest (8848 m) avant de s’attaquer à la traversée de la Manche à la nage. C’est maintenant chose faite et il devient du coup le premier à réaliser pareil exploit dans la même année.

Lea et sa future femme, la populaire skieuse et alpiniste Caroline Gleich, ont atteint le toit du monde le 24 mai dernier. Il s’agissait de la première «épreuve» du triathlon mondial que le sportif de l’Utah s’est mis en tête de réaliser.

Suivait la traversée de la Manche (33 km) — souvent surnommé l’Everest de la nage —, qu’il a complétée en 11h47 minutes. Pour relier l’Angleterre à la France, Rob Lea a dû batailler dans des eaux à 16 ºC — marées et méduses comprises — pendant que son équipe le suivait à bord d’un petit bateau, The Optimist.

Reste maintenant la traversée à vélo des États-Unis, prévue en septembre.

Ancien triathlète, le résidant de l’Utah s’est lancé dans cette aventure pour promouvoir l’égalité des genres avec ce qu’il a baptisé le Ultimate World Tri For Gender Equality (L’ultime triathlon mondial pour l’égalité des genres)

Rob Lea en action durant sa traversée de la Manche. — Photo tirée d’Instagram @carolinegleich

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Empilade monstre à la course d’enduro Mountain of Hell

Dans une course de vélo particulièrement folle, la conséquence d’une erreur peut être tout à fait monstrueuse.

Et l’on ne peut si bien dire qu’au sujet de la course d’enduro en vélo de montagne Mountain of Hell, présentée le 30 juin dernier à la station des Deux Alpes, en France.

Dans une grisante course de 25 km en descente qui s’amorce dans la neige à 3400 m d’altitude pour finir dans les boisés de la vallée, des centaines de cyclistes se sont empilés dans une chute collective monstre après l’erreur de pilotage de l’un d’eux.

Personne n’aurait été sérieusement blessé, mais à voir l’ampleur de l’incident et la vitesse à laquelle déboulaient les coureurs, on comprend que le pire a été évité de justesse.

Sur la piste enneigée et durcie de la station de ski, les kamikazes dévalaient la montagne à vitesse grand V. Certains à plus de 100 km/h dans le haut du parcours.

Il faut voir la prise de vue à la première personne ci-dessous pour comprendre l’intensité de l’affaire…

Un effet domino assez prévisible, il faut en convenir, surtout avec un rétrécissement dans le parcours qui créait un entonnoir…

Mais ça fait un bon spectacle et c’est ce qui démarque le Mountain of Hell, qui en était à sa 20e présentation cette année.

Imaginez une musique de circonstance et l’empilade devient même cocasse tant l’effet à la chaîne est interminable avec les quelque 700 coureurs en action qui se retrouvent coincés et forcés à la chute et à la glissade.

Amusant… mais je passe mon tour pour pareil enfer!

L’empilade a impliqué une grande majorité des quelque 700 coureurs inscrits. — Image tirée de YouTube

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Journée de rando… journée des tout nus

Gageons que vous avez raté l’occasion. Probablement la température plutôt fraîche des dernières semaines ou encore les moustiques qui sont actifs comme jamais cette année…

Mais qu’importe la raison, admettez que vous avez manqué le récent National Naked Hiking Day, tenu le 21 juin dernier.

Phénomène principalement américain, la journée nationale de la randonnée sans vêtement se veut une célébration spéciale non officielle pour souligner en nature et dans son plus simple appareil le solstice d’été.

Question d’éviter de se retrouver en difficulté avec les autorités, les aventuriers en costume d’Adam et d’Ève qui participent à la journée se concentrent surtout dans les portions reculées des grands sentiers de randonnée sauvages, comme l’Appalachian Trail et le Pacific Crest Trail (PCT).

Journée fraîche sur le PCT pour participer au National Naked Hiking day. — Photo tirée d’Instagram @janettait

D’autres participent également ailleurs dans le monde. La journée a même son mot-clic sur Instagram avec le #hikenakedday.

Un phénomène assez important pour que différents médias s’y intéressent, comme Outside qui est allé à la rencontre des randonneurs nus sur une portion du PCT, en Californie.

Et vous, oseriez-vous tout laisser dans le sac à dos pour une journée à randonner sans vêtements?


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L’art de partir en «nowhere», selon Lapierre

«Toi, après avoir atteint le pôle sud en solitaire, tu dois trouver ça plate une petite rando au Québec?» 

Je l’ai entendu souvent celle-là et pourtant, non, je ne trouve toujours pas ça ennuyeux car le but est loin d’être le même.  Et mon but en ce mercredi de juin était d’aller relaxer en nature, sans me casser la tête, juste partir et apprécier ce que la nature avait à m’offrir. 

Même quand notre destination reste inconnue, il faut faire le nécessaire pour ne pas se perdre! — Photo Sébastien Lapierre

Alors où aller et que faire?  Du canot? Du kayak? De la rando? Dans Charlevoix ou au Saguenay?

Et si je mettais seulement tout mon matériel dans ma voiture et que je me laissais simplement guider par l’impulsion du moment.  Partir sur un nowhere!

C’est ainsi qu’avec une certaine quantité de matériel — qui me sera principalement inutile, j’en conviens —, j’ai pris la route pour une courte escapade en plein air.

La première décision que j’ai prise fut de prendre la route vers l’ouest, peut-être par automatisme car ces derniers temps toutes mes conférences ont eu lieux dans les environs de Montréal et que lorsque je fais cette route je ne fais que passer sans m’arrêter, alors que plusieurs lieux semblent pourtant très intéressants.  C’est donc ainsi que j’ai laissé écoulé quelques dizaines de minutes avant de prendre une sortie qui allait, je l’espère, me mener vers un lieu inspirant.  

Sans savoir très exactement où je me trouvais, j’ai décidé que ce coin serait parfait pour une petite rando et c’est muni d’un certain minimum que je me suis lancé vers une belle petite aventure qui allait m’offrir un superbe spot pour installer ma tente le soir venu! 

Comme quoi, même après avoir conquis le pôle sud en solitaire, il est encore possible de me laisser émerveiller par ce que la nature a à m’offrir… dans le nowhere.

Écoutez le récit complet dans le podcast.


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Épisode 03 / D’étonnantes aventures, le Gaspésia 100 au féminin et zoothérapie avec MAIKANA

Au programme de l’épisode 03 de L’Appel de l’aventure, on vous présente d’étonnants périples de dernière minute, dont l’expédition de Louis Rousseau au K2. On revient sur de belles performances féminines à l’ultra-trail Gaspésia 100. Et on conclut avec un entretien en compagnie de Laura Ducharme et de Frédérique Hébert, le duo derrière MAIKANA, qui fait de la zoothérapie en contexte d’aventure.

Un épisode présenté en collaboration avec Arc’teryx et en partenariat avec la boutique Pagaie Québec.

1:24 // Sébastien Lapierre nous explique son week-end original… sans destination.

3:57 // On se permet une indiscrétion et on vous parle du départ sous le radar de Louis Rousseau pour rien de moins que des «vacances» de dernière minute… au K2!

Zoothérapie en contexte d’aventure avec MAIKANA — Photo tirée de Facebook @maikanazoot

7:29 // Retour sur de belles performance au féminin au Gaspésia 100.

12:13 // MAIKANA, qu’est-ce que c’est que ça? La travailleuse sociale Laura Ducharme et la zoothérapeute Frédérique Hébert nous parlent de leur initiative unique qui conjugue animaux de compagnie et aventure dans un intéressant modèle d’intervention en plein air.


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